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"Quentin Mosimann, un artiste qui a tout pour réussir"
Samedi 29 novembre 2025, la Star Academy s'annonce plus électrique que jamais avec un prime bouleversé par une règle exceptionnelle. Les élèves ont découvert ce mercredi soir les résultats des évaluations : deux binômes sont officiellement nominés. Il s'agit de Jeanne et Léo d'un côté, et de Lily et Théo L. de l'autre.
Un coup dur pour les académiciens, d'autant que c'est la seconde nomination de Théo L., tandis que Jeanne, Léo et Lily sont exposés pour la première fois. Dès à présent, les téléspectateurs doivent sauver un des deux duo, tandis que l'autre verra son sort tranché individuellement par les votes des camarades, une mécanique rarissime qui pourrait provoquer un départ particulièrement cruel.
Quentin Mosimann, l'artiste en question, a connu un parcours fulgurant. Dix-sept ans après sa victoire, l'artiste observe son parcours avec un mélange d'amusement et de gratitude. À 37 ans, le Franco-Suisse est devenu un artiste majeur, DJ classé à six reprises parmi les cent meilleurs du monde, producteur, compositeur recherché et, plus récemment, chroniqueur sur France Inter.
Ses débuts post-Star Ac sont faits d'essais, d'erreurs et d'explorations. Dès son premier album Duel, l'artiste affiche une double ADN : jazz et variété d'un côté, électro de l'autre. Très vite, il comprend que sa voix n'est pas son destin. Ce qui l'anime, c'est la scène et la musique électronique.
En 2012, il assume enfin sa mue avec un titre limpide : Je suis DJ. Suivent les résidences en clubs, les festivals internationaux, une place récurrente dans le DJ Mag Top 100 et même un rôle de juré dans The Voice Belgique.
Mais ces dernières années, un concept a tout changé : les Dream Tracks, ces morceaux composés en direct avec des personnalités aussi différentes qu'Alain Chabat, Bob Sinclar, Florent Manaudou ou Katseye. Sur TikTok, ses vidéos deviennent virales, son humour et sa bienveillance séduisent une nouvelle génération.
Aujourd'hui encore, Quentin Mosimann est un artiste qui a tout pour réussir. Il vit entre Paris, la Suisse et le Sud de la France, compose parfois dans la crêperie familiale de son père, et s'étonne toujours de remplir des salles des mois à l'avance.
S'il a gagné beaucoup, il a surtout investi : dans sa musique, dans son équipe, dans sa liberté artistique. Lui qui confie avoir participé à la Star Ac "pour aider sa mère" a, en dix-sept ans, transformé un jeu télévisé en une carrière internationale.
Et si l'artiste a gagné en légitimité artistique, il a aussi construit un véritable empire financier. Son passage de chanteur à DJ s'est révélé d'une redoutable efficacité. Dès 2014, il confiait toucher 7 000 € pour deux heures de mix en France, beaucoup plus en Asie ou au Moyen-Orient.
Aujourd'hui, Quentin Mosimann est un modèle à suivre, un artiste qui a tout pour réussir. Il nous montre que l'art d'être un succès ne se limite pas aux talents naturels, mais aussi à la persévérance et à la créativité.
Samedi 29 novembre 2025, la Star Academy s'annonce plus électrique que jamais avec un prime bouleversé par une règle exceptionnelle. Les élèves ont découvert ce mercredi soir les résultats des évaluations : deux binômes sont officiellement nominés. Il s'agit de Jeanne et Léo d'un côté, et de Lily et Théo L. de l'autre.
Un coup dur pour les académiciens, d'autant que c'est la seconde nomination de Théo L., tandis que Jeanne, Léo et Lily sont exposés pour la première fois. Dès à présent, les téléspectateurs doivent sauver un des deux duo, tandis que l'autre verra son sort tranché individuellement par les votes des camarades, une mécanique rarissime qui pourrait provoquer un départ particulièrement cruel.
Quentin Mosimann, l'artiste en question, a connu un parcours fulgurant. Dix-sept ans après sa victoire, l'artiste observe son parcours avec un mélange d'amusement et de gratitude. À 37 ans, le Franco-Suisse est devenu un artiste majeur, DJ classé à six reprises parmi les cent meilleurs du monde, producteur, compositeur recherché et, plus récemment, chroniqueur sur France Inter.
Ses débuts post-Star Ac sont faits d'essais, d'erreurs et d'explorations. Dès son premier album Duel, l'artiste affiche une double ADN : jazz et variété d'un côté, électro de l'autre. Très vite, il comprend que sa voix n'est pas son destin. Ce qui l'anime, c'est la scène et la musique électronique.
En 2012, il assume enfin sa mue avec un titre limpide : Je suis DJ. Suivent les résidences en clubs, les festivals internationaux, une place récurrente dans le DJ Mag Top 100 et même un rôle de juré dans The Voice Belgique.
Mais ces dernières années, un concept a tout changé : les Dream Tracks, ces morceaux composés en direct avec des personnalités aussi différentes qu'Alain Chabat, Bob Sinclar, Florent Manaudou ou Katseye. Sur TikTok, ses vidéos deviennent virales, son humour et sa bienveillance séduisent une nouvelle génération.
Aujourd'hui encore, Quentin Mosimann est un artiste qui a tout pour réussir. Il vit entre Paris, la Suisse et le Sud de la France, compose parfois dans la crêperie familiale de son père, et s'étonne toujours de remplir des salles des mois à l'avance.
S'il a gagné beaucoup, il a surtout investi : dans sa musique, dans son équipe, dans sa liberté artistique. Lui qui confie avoir participé à la Star Ac "pour aider sa mère" a, en dix-sept ans, transformé un jeu télévisé en une carrière internationale.
Et si l'artiste a gagné en légitimité artistique, il a aussi construit un véritable empire financier. Son passage de chanteur à DJ s'est révélé d'une redoutable efficacité. Dès 2014, il confiait toucher 7 000 € pour deux heures de mix en France, beaucoup plus en Asie ou au Moyen-Orient.
Aujourd'hui, Quentin Mosimann est un modèle à suivre, un artiste qui a tout pour réussir. Il nous montre que l'art d'être un succès ne se limite pas aux talents naturels, mais aussi à la persévérance et à la créativité.