Clavardeur
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La France, actuelle leader dans la création d'IA, sera de nouveau au centre de l'attention grâce aux étoiles de la Silicon Valley. Fidji Simo, une des figures les plus en vue de l'OpenAI, a déclaré être "profondément optimiste" quant au rôle que jouera l'excellence française dans la révolution de l'intelligence artificielle.
Selon Fidji Simo, la capacité à créer des ponts est l'une des grandes forces de l'Europe et de la France en particulier. C'est une affirmation qui ne manque pas d'ambition, notamment face à l'écosystème compétitif qui émerge en Asie. L'IA, qui a déjà fait son entrée dans les entreprises, est désormais au cœur des stratégies de développement et de croissance.
Florian Douetteau, président cofondateur du Dataiku, a souligné l'importance de ce dernier élément : "C'est important de voir qu'il y a un écosystème en France, qui est prêt à innover et qui a beaucoup d'ambition". Le Dataiku, une entreprise leader dans les applications d'IA, a installé son siège social aux États-Unis, mais ses activités de recherche et développement se trouvent désormais à Paris.
Mais comment l'humain va-t-il être réintroduit au cœur des entreprises ? Raphaël Sanchez, président du Generix Group, nous a donné un exemple concret : "Notre patron de la cybersécurité, il s'appelle Albert, c'est une IA. Nos développeurs ont un nouveau collègue, il s'appelle Claude, et c'est aussi une IA". Le rôle de l'humain doit donc être repensé au centre de l'entreprise.
Pour que l'IA soit acceptée dans les entreprises, il faut que les gens puissent s'en emparer, fabriquer leur propre IA, la construire et la déconstruire en permanence. "Pour que l'IA soit acceptée dans les entreprises, il faut que les gens puissent s'en emparer", a abondé Florian Douetteau.
Enfin, comment peut-on mesurer le succès de ces projets ? Les BFM Awards nous ont donné des réponses concretes à ces questions. L'écosystème qui se forme en France est prêt à innover et à prendre des risques.
Selon Fidji Simo, la capacité à créer des ponts est l'une des grandes forces de l'Europe et de la France en particulier. C'est une affirmation qui ne manque pas d'ambition, notamment face à l'écosystème compétitif qui émerge en Asie. L'IA, qui a déjà fait son entrée dans les entreprises, est désormais au cœur des stratégies de développement et de croissance.
Florian Douetteau, président cofondateur du Dataiku, a souligné l'importance de ce dernier élément : "C'est important de voir qu'il y a un écosystème en France, qui est prêt à innover et qui a beaucoup d'ambition". Le Dataiku, une entreprise leader dans les applications d'IA, a installé son siège social aux États-Unis, mais ses activités de recherche et développement se trouvent désormais à Paris.
Mais comment l'humain va-t-il être réintroduit au cœur des entreprises ? Raphaël Sanchez, président du Generix Group, nous a donné un exemple concret : "Notre patron de la cybersécurité, il s'appelle Albert, c'est une IA. Nos développeurs ont un nouveau collègue, il s'appelle Claude, et c'est aussi une IA". Le rôle de l'humain doit donc être repensé au centre de l'entreprise.
Pour que l'IA soit acceptée dans les entreprises, il faut que les gens puissent s'en emparer, fabriquer leur propre IA, la construire et la déconstruire en permanence. "Pour que l'IA soit acceptée dans les entreprises, il faut que les gens puissent s'en emparer", a abondé Florian Douetteau.
Enfin, comment peut-on mesurer le succès de ces projets ? Les BFM Awards nous ont donné des réponses concretes à ces questions. L'écosystème qui se forme en France est prêt à innover et à prendre des risques.