VerbeClair
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La Bolivie se tourne vers la droite pour sortir de la crise économique.
Le pays est en proie à une profonde crise économique depuis 2023, caractérisée par l'inflation galopante, des longues files d'attente devant les stations-service et un manque de dollars. Les électeurs ont décidé de mettre fin aux gouvernements de gauche qui ont été en place pendant vingt ans.
Le deuxième tour de l'élection présidentielle est fixé pour ce dimanche 19 octobre, entre l'ancien chef d'État de droite Jorge Quiroga et le sénateur de centre-droit Rodrigo Paz. Les deux candidats promettent de remettre sur pied le pays en proie à cette crise économique.
Jorge Quiroga, 65 ans, a promis de rétablir la confiance en apportant des dollars dans l'économie et de s'attaquer aux files d'attente. Rodrigo Paz, 58 ans, a également promis de réduire les subventions aux carburants et de favoriser les investissements.
Les recettes préconisées par les candidats sont classiques : privatiser les entreprises publiques, lutter contre la corruption et favoriser les investissements dans le secteur extractif. Cependant, leur rapport aux institutions financières internationales constitue une différence notable entre les deux candidats.
Le sénateur Rodrigo Paz refuse de faire appel au FMI et à la Banque mondiale, tandis que son rival, Jorge Quiroga, s'y montre favorable. Ce dernier est en avantage sur le score des intentions de vote, avec 44,9% contre 36,5% pour Rodrigo Paz.
La présidentielle marque la fin d'un cycle en Bolivie, mais elle ne constitue pas nécessairement celle d'Evo Morales, l'ancien président qui a été empêché de se présenter et visé par un mandat d'arrêt.
Le pays est en proie à une profonde crise économique depuis 2023, caractérisée par l'inflation galopante, des longues files d'attente devant les stations-service et un manque de dollars. Les électeurs ont décidé de mettre fin aux gouvernements de gauche qui ont été en place pendant vingt ans.
Le deuxième tour de l'élection présidentielle est fixé pour ce dimanche 19 octobre, entre l'ancien chef d'État de droite Jorge Quiroga et le sénateur de centre-droit Rodrigo Paz. Les deux candidats promettent de remettre sur pied le pays en proie à cette crise économique.
Jorge Quiroga, 65 ans, a promis de rétablir la confiance en apportant des dollars dans l'économie et de s'attaquer aux files d'attente. Rodrigo Paz, 58 ans, a également promis de réduire les subventions aux carburants et de favoriser les investissements.
Les recettes préconisées par les candidats sont classiques : privatiser les entreprises publiques, lutter contre la corruption et favoriser les investissements dans le secteur extractif. Cependant, leur rapport aux institutions financières internationales constitue une différence notable entre les deux candidats.
Le sénateur Rodrigo Paz refuse de faire appel au FMI et à la Banque mondiale, tandis que son rival, Jorge Quiroga, s'y montre favorable. Ce dernier est en avantage sur le score des intentions de vote, avec 44,9% contre 36,5% pour Rodrigo Paz.
La présidentielle marque la fin d'un cycle en Bolivie, mais elle ne constitue pas nécessairement celle d'Evo Morales, l'ancien président qui a été empêché de se présenter et visé par un mandat d'arrêt.