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Tensions à Douala et Garoua après l'annonce de la victoire de Paul Biya
La situation politique au Cameroun est tendue depuis l'annonce par le Conseil constitutionnel du président sortant, Paul Biya, vainqueur des élections présidentielles. Les tensions sont palpables dans plusieurs villes, notamment à Douala et Garoua, où les manifestants déclarent leur soutien à l'opposant Issa Tchiroma Bakary.
À Douala, le quartier de New Bell est sous blocus depuis plusieurs heures, et l'atmosphère est tendue. Les forces de maintien de l'ordre tentent de disperser des groupes de manifestants avec du gaz lacrymogène. Le siège du quartier est désormais impossible d'accéder, et les automobilistes, notamment les motos taxi, ont du mal à circuler.
La situation est similaire à Garoua, où l'opposant Issa Tchiroma Bakary se trouve en sécurité depuis le 12 octobre dernier. Des affrontements entre les manifestants et les forces de maintien de l'ordre ont été signalés dans la ville, notamment autour de la résidence de l'opposant. Les médias locaux parlent de coups de feu entendus.
Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a appelé à la retenue et demandé des enquêtes après des informations sur des violences en lien avec la présidentielle au Cameroun. Les Nations Unies ont rejeté ces actions, qualifiant les répression de manifestations pacifiques comme "impérative" pour maintenir l'ordre public.
Les tensions à Douala et Garoua montent en puissance, et il est possible que la situation devienne encore plus tendue au fil des jours. La communauté internationale observe ces événements avec attention, et les résultats de l'élection présidentielle sont attendus avec impatience par les citoyens camerounais.
La situation politique au Cameroun est tendue depuis l'annonce par le Conseil constitutionnel du président sortant, Paul Biya, vainqueur des élections présidentielles. Les tensions sont palpables dans plusieurs villes, notamment à Douala et Garoua, où les manifestants déclarent leur soutien à l'opposant Issa Tchiroma Bakary.
À Douala, le quartier de New Bell est sous blocus depuis plusieurs heures, et l'atmosphère est tendue. Les forces de maintien de l'ordre tentent de disperser des groupes de manifestants avec du gaz lacrymogène. Le siège du quartier est désormais impossible d'accéder, et les automobilistes, notamment les motos taxi, ont du mal à circuler.
La situation est similaire à Garoua, où l'opposant Issa Tchiroma Bakary se trouve en sécurité depuis le 12 octobre dernier. Des affrontements entre les manifestants et les forces de maintien de l'ordre ont été signalés dans la ville, notamment autour de la résidence de l'opposant. Les médias locaux parlent de coups de feu entendus.
Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a appelé à la retenue et demandé des enquêtes après des informations sur des violences en lien avec la présidentielle au Cameroun. Les Nations Unies ont rejeté ces actions, qualifiant les répression de manifestations pacifiques comme "impérative" pour maintenir l'ordre public.
Les tensions à Douala et Garoua montent en puissance, et il est possible que la situation devienne encore plus tendue au fil des jours. La communauté internationale observe ces événements avec attention, et les résultats de l'élection présidentielle sont attendus avec impatience par les citoyens camerounais.