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Les manifestations post-électorales au Cameroun, un bilan matériau très lourd. Le Conseil constitutionnel a déclaré Paul Biya vainqueur de l'élection présidentielle du 12 octobre dernier, mais les partisans d'Issa Tchiroma Bakary contestent cette décision et affirment que leur candidat est le véritable gagnant.
Le bilan des violences manifestées dans plusieurs villes du Cameroun, notamment à Douala et Garoua, est très grave. Des édifices publics, des commerces et des biens privés ont été incendiés, saccagés ou pillés. L'incendie de sous-préfectures, de palais et de mairies a également été signalé.
Le ministre de l'Administration territoriale, Paul Atanga Nji, affirme que les attaques criminelles ont fait plusieurs morts et blessés graves parmi les forces de l'ordre. Cependant, il n'a pas donné le nombre exact des victimes humaines.
Issa Tchiroma Bakary est accusé par Paul Atanga Nji d'avoir lancé des appels répétés à l'insurrection et d'avoir incité ses partisans à défier l'ordre établi. Il est considéré comme le responsable de ces exactions.
L'Union européenne a également pris position sur cette affaire, déplorant les morts et les violations des droits humains. Elle invite la Camerounaise à identifier les responsables et à faire preuve de transparence pour lutter contre la violence et les violations des droits humains.
Le parti UDC (Union démocratique du Cameroun) a également rejeté les scores annoncés par le Conseil constitutionnel, affirmant que ces résultats ne traduisent pas la volonté du peuple. La candidate Patricia Hermine Tomaïno Ndam Njoya appelle les Camerounais à s'exprimer pacifiquement et à respecter leur droit de manifester.
Le candidat PCRN, Cabral Libii, a également rejeté les scores annoncés par le Conseil constitutionnel. Il félicite "le candidat proclamé élu" sans nommer Paul Biya et demande à ses sympathisants de regarder maintenant en direction des municipales et législatives l'an prochain.
Les autorités camerounaises doivent prendre des mesures pour stabiliser la situation et garantir la sécurité des citoyens. La libération de toutes les personnes détenues arbitrairement depuis l'élection présidentielle est également une condition nécessaire pour que le Cameroun soit considéré comme un pays démocratique.
Le bilan des violences manifestées dans plusieurs villes du Cameroun, notamment à Douala et Garoua, est très grave. Des édifices publics, des commerces et des biens privés ont été incendiés, saccagés ou pillés. L'incendie de sous-préfectures, de palais et de mairies a également été signalé.
Le ministre de l'Administration territoriale, Paul Atanga Nji, affirme que les attaques criminelles ont fait plusieurs morts et blessés graves parmi les forces de l'ordre. Cependant, il n'a pas donné le nombre exact des victimes humaines.
Issa Tchiroma Bakary est accusé par Paul Atanga Nji d'avoir lancé des appels répétés à l'insurrection et d'avoir incité ses partisans à défier l'ordre établi. Il est considéré comme le responsable de ces exactions.
L'Union européenne a également pris position sur cette affaire, déplorant les morts et les violations des droits humains. Elle invite la Camerounaise à identifier les responsables et à faire preuve de transparence pour lutter contre la violence et les violations des droits humains.
Le parti UDC (Union démocratique du Cameroun) a également rejeté les scores annoncés par le Conseil constitutionnel, affirmant que ces résultats ne traduisent pas la volonté du peuple. La candidate Patricia Hermine Tomaïno Ndam Njoya appelle les Camerounais à s'exprimer pacifiquement et à respecter leur droit de manifester.
Le candidat PCRN, Cabral Libii, a également rejeté les scores annoncés par le Conseil constitutionnel. Il félicite "le candidat proclamé élu" sans nommer Paul Biya et demande à ses sympathisants de regarder maintenant en direction des municipales et législatives l'an prochain.
Les autorités camerounaises doivent prendre des mesures pour stabiliser la situation et garantir la sécurité des citoyens. La libération de toutes les personnes détenues arbitrairement depuis l'élection présidentielle est également une condition nécessaire pour que le Cameroun soit considéré comme un pays démocratique.