TchatcheurExpress
Well-known member
Je me souviens encore de la soirée où j'ai découvert le premier PowerWash Simulator, un jeu qui m'avait promis une petite délice. J'étais fatigué, envahi par les défis du quotidien, et je croyais que cela allait être juste pour rire quelques minutes. Mais au lieu de ça, j'ai été saisissant dans une bulle d'addiction à l'extrême, incapable d'arrêter après un heure ou deux. Les heures ont passé comme ne rien, et moi je n'avais même pas pris la peine de me reposer.
Trois ans après, FuturLab revient avec PowerWash Simulator 2. Et il y a encore ce concept qui nous attire à lui-même : l'art du nettoyage. Mais cette fois-ci, c'est deux fois plus adieu ! Le gameplay reste le même : asperger de l'eau sur tout ce qui s'offre à vous pour en faire disparaître la crasse. Et une fois encore, il y a ce feeling addictif que rien ne peut résister.
On dirait que FuturLab prend plaisir à nous imaginer des niveaux très, très longs et délicats, comme si on devait perdre son temps à tout moment pour y arriver. Mais c'est vrai qu'on se répète plus de mille fois les mêmes tâches. Et la bonne question est : peut-on vraiment faire quelque chose deux fois ? Quand on commence le jeu et qu'on sent que nous sommes là pour des heures, je n'ai pas pu m'en empêcher d'y jouez encore un peu plus après avoir compris que rien ne change.
C'est vrai qu'il y a dans ce jeu une dimension relaxante qui peut être agréable. On se délecte du son et de la sensation générale du gameplay : les bruits des outils de nettoyage et le rythme de la musique, tout cela contribue à un sentiment d’harmonie que je n'ai pas vu souvent dans ces jeux.
Mais le problème reste celui de l'addiction. Vous devez comprendre ce qui se passe dans votre tête lorsque vous commencez à jouer. Imaginez un bâtiment rempli de salissures, et quand on y met son "nettoyeur à haute pression", on se dit : "Après [insérer une phrase comme 'la fenêtre'] j'arrête". Et puis, malheureusement, c'est le déni. On n'a pas envie d'arrêter. En plus, chaque fois qu'on complète une mission, une autre est en attente. Et vous savez ce qui se passe ensuite... C'est la fin de votre raison.
Pour faire bonne compagnie avec ce jeu, il y a la possibilité de personnaliser le décor de votre "base" (c'est ainsi que l'appelle le développeur) et de récupérer des objets pour en faire disparaître les sales taches. Et bien sûr, il y a ces chats mignons qui vous attendent. Mais le plus important reste le jeu lui-même, dans sa simplicité et sa grâce.
Dans ce cas, je ne peux pas dire que PowerWash Simulator 2 est un jeu pour tout le monde. C'est basique et simple, mais cela peut se transformer en vice si vous êtes sensible aux leviers psychologiques qu'il utilise. Si vous avez peur d'y succomber, n' Essayez pas de jouer ! Mais si vous êtes prêt à lâcher prise et à perdre vos heures de sommeil, au moins je peux vous dire que c'est un plaisir immédiat.
En fin de compte, PowerWash Simulator 2 est un jeu qui réussit. Ce n'est peut-être pas la meilleure façon de passer son temps libre, mais ce qu'il y a en réalité, c'est la force et la détermination avec lesquelles nous sommes capables d'absorber ses pièges.
Trois ans après, FuturLab revient avec PowerWash Simulator 2. Et il y a encore ce concept qui nous attire à lui-même : l'art du nettoyage. Mais cette fois-ci, c'est deux fois plus adieu ! Le gameplay reste le même : asperger de l'eau sur tout ce qui s'offre à vous pour en faire disparaître la crasse. Et une fois encore, il y a ce feeling addictif que rien ne peut résister.
On dirait que FuturLab prend plaisir à nous imaginer des niveaux très, très longs et délicats, comme si on devait perdre son temps à tout moment pour y arriver. Mais c'est vrai qu'on se répète plus de mille fois les mêmes tâches. Et la bonne question est : peut-on vraiment faire quelque chose deux fois ? Quand on commence le jeu et qu'on sent que nous sommes là pour des heures, je n'ai pas pu m'en empêcher d'y jouez encore un peu plus après avoir compris que rien ne change.
C'est vrai qu'il y a dans ce jeu une dimension relaxante qui peut être agréable. On se délecte du son et de la sensation générale du gameplay : les bruits des outils de nettoyage et le rythme de la musique, tout cela contribue à un sentiment d’harmonie que je n'ai pas vu souvent dans ces jeux.
Mais le problème reste celui de l'addiction. Vous devez comprendre ce qui se passe dans votre tête lorsque vous commencez à jouer. Imaginez un bâtiment rempli de salissures, et quand on y met son "nettoyeur à haute pression", on se dit : "Après [insérer une phrase comme 'la fenêtre'] j'arrête". Et puis, malheureusement, c'est le déni. On n'a pas envie d'arrêter. En plus, chaque fois qu'on complète une mission, une autre est en attente. Et vous savez ce qui se passe ensuite... C'est la fin de votre raison.
Pour faire bonne compagnie avec ce jeu, il y a la possibilité de personnaliser le décor de votre "base" (c'est ainsi que l'appelle le développeur) et de récupérer des objets pour en faire disparaître les sales taches. Et bien sûr, il y a ces chats mignons qui vous attendent. Mais le plus important reste le jeu lui-même, dans sa simplicité et sa grâce.
Dans ce cas, je ne peux pas dire que PowerWash Simulator 2 est un jeu pour tout le monde. C'est basique et simple, mais cela peut se transformer en vice si vous êtes sensible aux leviers psychologiques qu'il utilise. Si vous avez peur d'y succomber, n' Essayez pas de jouer ! Mais si vous êtes prêt à lâcher prise et à perdre vos heures de sommeil, au moins je peux vous dire que c'est un plaisir immédiat.
En fin de compte, PowerWash Simulator 2 est un jeu qui réussit. Ce n'est peut-être pas la meilleure façon de passer son temps libre, mais ce qu'il y a en réalité, c'est la force et la détermination avec lesquelles nous sommes capables d'absorber ses pièges.