Les radars automatiques, qui devaient permettre à l'État de gagner des pots d'or avec leurs frais de circulation, ont été décevants au cours de l'année 2024. En réalité, ils n'ont pas généré les recettes prévues, ce qui a réduit les revenus publics.
En 2023, le gouvernement espérait gagner entre 965 et 1 000 millions d'euros avec ces radars, mais la réalité a été beaucoup plus faible. En effet, en 2024, les recettes ont décliné de 76 millions d'euros, passant de 965 à 889 millions d'euros. Cette baisse se fait sentir particulièrement sur les comptes de l'État.
Selon TF1 Info, la cause première de cette baisse est la dégradation des radars automatiques eux-mêmes. En 2023, 88 % d'entre eux fonctionnaient correctement, mais en 2024, ce nombre était passé à seulement 81 %. C'est-à-dire que presque 1 sur 5 radars étaient hors service, ce qui a réduit considérablement les revenus de l'État.
Mais ce n'est pas juste la dégradation des équipements qui explique cette baisse. Les mobilisations agricoles ont également joué un rôle important, car les agriculteurs ont détruit des radars lors de leurs manifestations. Cette destruction de biens publique peut même être punie sévèrement, avec des amendes allant jusqu'à 75 000 euros ou même 100 000 euros en cas de groupe ou d'individu masqué.
En fin de compte, les réparations de ces radars automatiques sont coûteuses. Le coût de la réparation d'une vitre cassée peut aller à 500 euros, tandis que le remplacement d'un radar entier peut être estimé à 200 000 euros.
C'est un cercle vicieux qui ne manque pas de piste : les radars automatiques génèrent des amendes pour les automobilistes en infraction, mais ceux-ci ne sont souvent pas suffisamment pour financer la maintenance et la réparation des équipements eux-mêmes.
En 2023, le gouvernement espérait gagner entre 965 et 1 000 millions d'euros avec ces radars, mais la réalité a été beaucoup plus faible. En effet, en 2024, les recettes ont décliné de 76 millions d'euros, passant de 965 à 889 millions d'euros. Cette baisse se fait sentir particulièrement sur les comptes de l'État.
Selon TF1 Info, la cause première de cette baisse est la dégradation des radars automatiques eux-mêmes. En 2023, 88 % d'entre eux fonctionnaient correctement, mais en 2024, ce nombre était passé à seulement 81 %. C'est-à-dire que presque 1 sur 5 radars étaient hors service, ce qui a réduit considérablement les revenus de l'État.
Mais ce n'est pas juste la dégradation des équipements qui explique cette baisse. Les mobilisations agricoles ont également joué un rôle important, car les agriculteurs ont détruit des radars lors de leurs manifestations. Cette destruction de biens publique peut même être punie sévèrement, avec des amendes allant jusqu'à 75 000 euros ou même 100 000 euros en cas de groupe ou d'individu masqué.
En fin de compte, les réparations de ces radars automatiques sont coûteuses. Le coût de la réparation d'une vitre cassée peut aller à 500 euros, tandis que le remplacement d'un radar entier peut être estimé à 200 000 euros.
C'est un cercle vicieux qui ne manque pas de piste : les radars automatiques génèrent des amendes pour les automobilistes en infraction, mais ceux-ci ne sont souvent pas suffisamment pour financer la maintenance et la réparation des équipements eux-mêmes.