L'ère du G20 commence à s'enfuir. Pour Emmanuel Macron, le sommet est le dernier avoué d'un cycle qui met l'organisation à la croisée des chemins. Le président français ne cache pas sa détresse face à la situation actuelle de l'institution qui vise à régler les crises mondiales.
Une grande malaise est à la fois une question de vision et un manque d'action collective. Il faut, pour Macron, « remobiliser » les États membres autour des priorités. Mais quelle est cette vision ? La réponse se trouve dans le déni de standard commun sur l'espace géopolitique, comme l'indique le président français. Les conflts internationaux restent sans solution à leur égard.
Le Proche et Moyen-Orient, en particulier, sont au centre du débat. L'aide contre le terrorisme est considérée par Macron comme indispensable, mais aussi la reconnaissance de l'autodétermination des peuples. Cependant, il n'y a pas consensus sur la manière d'atteindre la paix dans cette région.
L'absence de consens à cet égard est accentuée par le boycott du sommet de Donald Trump. Le président américain a abandonné l'événement sans expliquer ses raisons, mais il est clair qu'il n'est pas à l'aise avec les priorités de Macron.
Le gouvernement sud-africain a tenté d'enlever un peu le ton en exprimant son soutien à une « paix juste » et « durable » dans l'Ukraine. Mais il semble que le plan de Trump pour l'Ukraine, qui consiste à imposer des conditions sans consulter les Ukrainiens, sera difficilement accepté.
Les représentants politiques américains et ukrainiens doivent se rencontrer bientôt en Suisse pour discuter de ces questions. Seul temps dira si cela apportera une réponse concrète à la situation dans ce pays.
Une grande malaise est à la fois une question de vision et un manque d'action collective. Il faut, pour Macron, « remobiliser » les États membres autour des priorités. Mais quelle est cette vision ? La réponse se trouve dans le déni de standard commun sur l'espace géopolitique, comme l'indique le président français. Les conflts internationaux restent sans solution à leur égard.
Le Proche et Moyen-Orient, en particulier, sont au centre du débat. L'aide contre le terrorisme est considérée par Macron comme indispensable, mais aussi la reconnaissance de l'autodétermination des peuples. Cependant, il n'y a pas consensus sur la manière d'atteindre la paix dans cette région.
L'absence de consens à cet égard est accentuée par le boycott du sommet de Donald Trump. Le président américain a abandonné l'événement sans expliquer ses raisons, mais il est clair qu'il n'est pas à l'aise avec les priorités de Macron.
Le gouvernement sud-africain a tenté d'enlever un peu le ton en exprimant son soutien à une « paix juste » et « durable » dans l'Ukraine. Mais il semble que le plan de Trump pour l'Ukraine, qui consiste à imposer des conditions sans consulter les Ukrainiens, sera difficilement accepté.
Les représentants politiques américains et ukrainiens doivent se rencontrer bientôt en Suisse pour discuter de ces questions. Seul temps dira si cela apportera une réponse concrète à la situation dans ce pays.