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Les parlementaires allemands ont finalement voté la réforme des retraites, une décision qui a suscité une grande controverse et souligné les difficultés du chancelier Friedrich Merz à diriger son propre parti. Le texte adopté prévoit de compléter les cotisations des actifs grâce au budget fédéral jusqu'en 2031, mesure jugée injuste par la jeunesse.
Les membres de la section jeunesse de l'Union chrétienne-démocrate (CDU) et de l'Union chrétienne-sociale (CSU) opposés à cette réforme sont surnommés "les rebelles de la retraite" dans les journaux. Ils se révoltent contre leurs aînés, estiment que le compromis négocié avec les sociaux-démocrates pour maintenir le niveau des retraites n'est pas tenable financièrement.
Le gouvernement allemand a mis en place une mesure consistant à compléter les cotisations des actifs grâce au budget fédéral, ce qui va permettre de maintenir le niveau des retraites jusqu'en 2031. Mais pour la jeunesse, c'est une mesure injuste, car elle devront à l'avenir rembourser les dettes contractées à cet effet.
Les réactions sont mitigées en Allemagne. Le journal centriste "Cicero" soutient les rebelles en disant que l'équité intergénérationnelle n'est plus une priorité, tandis que le titre conservateur suggère qu'il est temps pour les boomeurs de prendre leurs responsabilités et d'assumer le coût de leur manque de fécondité.
Cette réforme des retraites a mis en évidence les défis auxquels est confronté le chancelier Friedrich Merz, qui doit naviguer dans un pays vieillissant où la population âgée augmente.
Les membres de la section jeunesse de l'Union chrétienne-démocrate (CDU) et de l'Union chrétienne-sociale (CSU) opposés à cette réforme sont surnommés "les rebelles de la retraite" dans les journaux. Ils se révoltent contre leurs aînés, estiment que le compromis négocié avec les sociaux-démocrates pour maintenir le niveau des retraites n'est pas tenable financièrement.
Le gouvernement allemand a mis en place une mesure consistant à compléter les cotisations des actifs grâce au budget fédéral, ce qui va permettre de maintenir le niveau des retraites jusqu'en 2031. Mais pour la jeunesse, c'est une mesure injuste, car elle devront à l'avenir rembourser les dettes contractées à cet effet.
Les réactions sont mitigées en Allemagne. Le journal centriste "Cicero" soutient les rebelles en disant que l'équité intergénérationnelle n'est plus une priorité, tandis que le titre conservateur suggère qu'il est temps pour les boomeurs de prendre leurs responsabilités et d'assumer le coût de leur manque de fécondité.
Cette réforme des retraites a mis en évidence les défis auxquels est confronté le chancelier Friedrich Merz, qui doit naviguer dans un pays vieillissant où la population âgée augmente.