L'Alliance Sahra Wagenknecht, le parti politique de l'ex-élue de gauche allemande, est aux prises avec une crise de leadership qui pourrait s'avérer dévastatrice. La quinquagénaire Sahra Wagenknecht, figure de proue de la gauche radicale allemande, a annoncé, mardi 10 novembre, qu'elle ne s'occuperait plus que des réflexions programmatiques du parti, mettant ainsi un terme à son mandat en tant que dirigeante. Ce choix est interprété comme le signe d'une formation politique qui se débat avec son avenir.
La décision de Sahra Wagenknecht de se consacrer pleinement aux réflexions programmatiques du parti, et non plus à la direction, est considérée par certains comme un signal que l'Alliance Sahra Wagenknecht est au plus mal. L'eurodéputé Fabio De Masi prendra ses devants dans les fonctions de leadership, aux côtés d'Amira Mohamed Ali, coprésidente du parti.
Cette décision est pourtant interprétée comme un symptôme de malaise dans l'entourage de Sahra Wagenknecht. Les critiques qui l'ont suivie depuis des mois suggèrent que le parti est coincé entre deux états d'esprit : il ne possède pas assez de force pour être une force politique viable, mais il n'est pas non plus fort enough pour disparaître complètement.
L'alliance a échoué à recueillir 5% des suffrages lors des dernières législatives, ce qui lui a interdit d'être représentée au Bundestag. Cette déception a suscité des critiques contre Sahra Wagenknecht, mais il est possible qu'elle ne soit pas prête à abandonner son rêve politique.
Sahra Wagenknecht aura du mal à convaincre ses partisans que la décision de se consacrer pleinement aux réflexions programmatiques est un choix stratégique qui leur permettra de renforcer leur base et d'atteindre leurs objectifs électoraux.
La décision de Sahra Wagenknecht de se consacrer pleinement aux réflexions programmatiques du parti, et non plus à la direction, est considérée par certains comme un signal que l'Alliance Sahra Wagenknecht est au plus mal. L'eurodéputé Fabio De Masi prendra ses devants dans les fonctions de leadership, aux côtés d'Amira Mohamed Ali, coprésidente du parti.
Cette décision est pourtant interprétée comme un symptôme de malaise dans l'entourage de Sahra Wagenknecht. Les critiques qui l'ont suivie depuis des mois suggèrent que le parti est coincé entre deux états d'esprit : il ne possède pas assez de force pour être une force politique viable, mais il n'est pas non plus fort enough pour disparaître complètement.
L'alliance a échoué à recueillir 5% des suffrages lors des dernières législatives, ce qui lui a interdit d'être représentée au Bundestag. Cette déception a suscité des critiques contre Sahra Wagenknecht, mais il est possible qu'elle ne soit pas prête à abandonner son rêve politique.
Sahra Wagenknecht aura du mal à convaincre ses partisans que la décision de se consacrer pleinement aux réflexions programmatiques est un choix stratégique qui leur permettra de renforcer leur base et d'atteindre leurs objectifs électoraux.