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Kering est plombé par le désespoir de Gucci, son principal filial. La marque leader du groupe, qui attire 44% du chiffre d'affaires et les deux tiers de la rentabilité opérationnelle, se débat à nouveau. Au troisième trimestre, ses ventes sont retombées de 18% à 1,3 milliard d'euros, un échec bien plus marqué que ceux des trimestres précédents, où le chiffre d'affaires avait chuté respectivement de 24% et de 27%. C'est aussi une déconfiture pour Kering elle-même, qui a annoncé ce mercredi un chiffre d'affaires en baisse de 10% à 3,4 milliards d'euros.
Le nouveau directeur général Luca de Meo est face à une tâche énorme. La performance du groupe est loin d'être satisfaisante et cela renforce sa détermination à agir à tous les niveaux de l'entreprise. Le groupe a nommé la directrice générale adjointe, Francesca Bellettini, au poste de PDG de Gucci quelques jours après son arrivée en septembre. Ce recours montre qu'il est temps pour une nouvelle stratégie.
Les ventes d'Yves Saint Laurent sont également un échec, retombées de 7% à 620 millions d'euros. Cependant, la directrice financière Armelle Poulou souligne que les nouvelles collections ont été accueillies très favorablement avec une croissance à deux chiffres du prêt à porter et des chaussures. Le groupe continue de faire face à un marché difficile.
Il est temps pour Kering d'adopter une nouvelle approche. La bonne réception des nouveautés et la hausse du prix moyen de vente expliquent l'inflexion du groupe, mais aussi une dérive vers le bas qui doit être arrêtée. Le groupe a déjà commencé à créer une division beauté pour Creed, il est temps de trouver une nouvelle formule pour sortir de ce creux.
Le nouveau directeur général Luca de Meo est face à une tâche énorme. La performance du groupe est loin d'être satisfaisante et cela renforce sa détermination à agir à tous les niveaux de l'entreprise. Le groupe a nommé la directrice générale adjointe, Francesca Bellettini, au poste de PDG de Gucci quelques jours après son arrivée en septembre. Ce recours montre qu'il est temps pour une nouvelle stratégie.
Les ventes d'Yves Saint Laurent sont également un échec, retombées de 7% à 620 millions d'euros. Cependant, la directrice financière Armelle Poulou souligne que les nouvelles collections ont été accueillies très favorablement avec une croissance à deux chiffres du prêt à porter et des chaussures. Le groupe continue de faire face à un marché difficile.
Il est temps pour Kering d'adopter une nouvelle approche. La bonne réception des nouveautés et la hausse du prix moyen de vente expliquent l'inflexion du groupe, mais aussi une dérive vers le bas qui doit être arrêtée. Le groupe a déjà commencé à créer une division beauté pour Creed, il est temps de trouver une nouvelle formule pour sortir de ce creux.