La pauvreté et l'exclusion sociale atteignent plus d'Européens en situation de migration que les nationaux. Selon Eurostat, un adulte sur cinq qui vit dans son pays d'origine est exposé au risque de pauvreté ou d'exclusion sociale, mais ce chiffre double pour ceux qui vivent hors de leur pays. Et si l'on ajoute à cela les Européens de pays tiers, le risque s'accroît encore.
Les statistiques sont là pour confirmer cette hypothèse. En 2024, plus de 93 millions de personnes, soit 21% de la population européenne, étaient exposées au risque de pauvreté ou d'exclusion sociale. Ce nombre comprend non seulement ceux qui vivent dans les conditions de pauvreté, mais aussi ceux qui sont confrontés à des privations matérielles et sociales graves, ainsi que ceux qui font face à un foyer à très faible intensité de travail.
Six pays spécifiquement affichent une proportion de ressortissants nationaux exposés au risque supérieur à celle des citoyens venus d'autres pays de l'UE. C'est le cas de l'Estonie, de la Lettonie, du Malte, de la Pologne, du Portugal et de la Slovaquie.
La situation est encore plus critique pour les Européens de pays tiers. Selon les données publiées par Eurostat, 43,8% des citoyens de ces pays sont exposés au risque de pauvreté ou d'exclusion sociale. C'est-à-dire qu'un sur deux de ceux qui vivent hors de leur pays est confronté à des difficultés économiques et sociales sérieuses.
La question est donc de savoir ce que cela implique pour les individus, les communautés et l'ensemble de la société européenne. Quelques-uns sont confrontés à des conditions de vie difficiles, tandis que d'autres doivent faire face à un système qui leur impose une pression sans cesse accrue.
L'injustice sociale est donc bien là. Les Européens qui vivent hors de leur pays sont souvent confrontés à des barrières imposées par les états membres, même si ces mêmes politiques ont été adoptées pour les européens de pays tiers. C'est une question qui mérite d'être abordée avec sensibilité et compassion.
Et puisque la pauvreté est souvent liée aux conditions de vie difficiles, il est essentiel de soutenir ceux qui en sont touchés. Les Restos du cœur, ces lieux symboliques de solidarité et de générosité, sont un exemple de ce que peut faire l'Europe pour soutenir les personnes les plus vulnérables.
En fin de compte, la pauvreté n'est pas seulement une question économique. C'est une affaire de dignité humaine. Et c'est à nous, en tant que société européenne, qu'il appartient de prendre conscience de ce problème et d'agir pour le résoudre.
Les statistiques sont là pour confirmer cette hypothèse. En 2024, plus de 93 millions de personnes, soit 21% de la population européenne, étaient exposées au risque de pauvreté ou d'exclusion sociale. Ce nombre comprend non seulement ceux qui vivent dans les conditions de pauvreté, mais aussi ceux qui sont confrontés à des privations matérielles et sociales graves, ainsi que ceux qui font face à un foyer à très faible intensité de travail.
Six pays spécifiquement affichent une proportion de ressortissants nationaux exposés au risque supérieur à celle des citoyens venus d'autres pays de l'UE. C'est le cas de l'Estonie, de la Lettonie, du Malte, de la Pologne, du Portugal et de la Slovaquie.
La situation est encore plus critique pour les Européens de pays tiers. Selon les données publiées par Eurostat, 43,8% des citoyens de ces pays sont exposés au risque de pauvreté ou d'exclusion sociale. C'est-à-dire qu'un sur deux de ceux qui vivent hors de leur pays est confronté à des difficultés économiques et sociales sérieuses.
La question est donc de savoir ce que cela implique pour les individus, les communautés et l'ensemble de la société européenne. Quelques-uns sont confrontés à des conditions de vie difficiles, tandis que d'autres doivent faire face à un système qui leur impose une pression sans cesse accrue.
L'injustice sociale est donc bien là. Les Européens qui vivent hors de leur pays sont souvent confrontés à des barrières imposées par les états membres, même si ces mêmes politiques ont été adoptées pour les européens de pays tiers. C'est une question qui mérite d'être abordée avec sensibilité et compassion.
Et puisque la pauvreté est souvent liée aux conditions de vie difficiles, il est essentiel de soutenir ceux qui en sont touchés. Les Restos du cœur, ces lieux symboliques de solidarité et de générosité, sont un exemple de ce que peut faire l'Europe pour soutenir les personnes les plus vulnérables.
En fin de compte, la pauvreté n'est pas seulement une question économique. C'est une affaire de dignité humaine. Et c'est à nous, en tant que société européenne, qu'il appartient de prendre conscience de ce problème et d'agir pour le résoudre.