PapoteurClair
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Une aventure économique qui se complique par la suite pour le pays. L'alerte du gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur l'état du pays s'est révélée étonnamment pertinente, malgré l'impression d'une note souveraine maintenue par Moody's. La note souveraine de la France, qui correspond à une dette de bonne qualité, est toujours AA3, mais cette situation n'empêche pas le gouverneur de dénoncer un étouffement progressif.
Selon Villeroy de Galhau, ce n'est pas la faillite qui menace la France, mais les charges que nous nous imposons. En particulier, la charge des intérêts qui augmente de plus en plus et cela pose un problème. Nous sommes également confrontés à un risque « par contagion » : les emprunts devenant de plus en plus chers pour les ménages et les entreprises.
Malgré ce diagnostic alarmiste, le gouverneur de la Banque de France espère que notre pays va trouver un équilibre. Il estime que nous devons trouver des moyens pour réduire cette charge et dégager du potentiel économique. Mais il y a encore beaucoup de travail à faire.
C'est aussi dans ce contexte qu'on retrouve François Villeroy de Galhau sur la question de la taxe Zucman, un impôt prévu pour les plus riches. Le gouverneur de la Banque de France est clair sur son point de vue : « il n'est pas juste que ceux qui ont le plus minorent leur impôt via des mécanismes comme les holdings patrimoniales ou diverses niches fiscales ». Il pense que ces contributions doivent être réparties de manière plus équitable.
Mais Villeroy de Galhau ne veut pas s'engager dans un compromis avec les partis politiques. Au lieu de cela, il préfère appeler à l'équipe et à la coopération pour trouver des solutions. Nous sommes encore très loin de ce que nous espérons et il y a encore beaucoup à faire.
Selon Villeroy de Galhau, ce n'est pas la faillite qui menace la France, mais les charges que nous nous imposons. En particulier, la charge des intérêts qui augmente de plus en plus et cela pose un problème. Nous sommes également confrontés à un risque « par contagion » : les emprunts devenant de plus en plus chers pour les ménages et les entreprises.
Malgré ce diagnostic alarmiste, le gouverneur de la Banque de France espère que notre pays va trouver un équilibre. Il estime que nous devons trouver des moyens pour réduire cette charge et dégager du potentiel économique. Mais il y a encore beaucoup de travail à faire.
C'est aussi dans ce contexte qu'on retrouve François Villeroy de Galhau sur la question de la taxe Zucman, un impôt prévu pour les plus riches. Le gouverneur de la Banque de France est clair sur son point de vue : « il n'est pas juste que ceux qui ont le plus minorent leur impôt via des mécanismes comme les holdings patrimoniales ou diverses niches fiscales ». Il pense que ces contributions doivent être réparties de manière plus équitable.
Mais Villeroy de Galhau ne veut pas s'engager dans un compromis avec les partis politiques. Au lieu de cela, il préfère appeler à l'équipe et à la coopération pour trouver des solutions. Nous sommes encore très loin de ce que nous espérons et il y a encore beaucoup à faire.