BulleLumineux
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Des villages de campagne se battent pour survivre dans un contexte où les changements climatiques et l'urbanisation sont menacés par leur existence. En Bretagne, au Danemark, en Italie, la Calabre, en Pologne et en Suède, les communes rurales inventent des stratégies pour ne pas disparaître. Les bistrots de village, les primes à l'installation, les forêts retrouvées et les révoltes paysannes sont autant de façons dont ces territoires tentent de maintenir leur identité.
En France, le modèle de l'Essentiel, bar-tabac-épicerie de Prunay-le-Gillon, montre que les bistrots restent souvent les derniers lieux de vie dans les campagnes où les commerces disparaissent. Les gérants, Céline et David Cardoso, connaissent chacun de leurs clients et savent qu'un bistrot qui ferme est la mort d'un village. L'absence de médecins est un sujet constant, mais les familles veulent plus que des pharmacies pour rester en campagne.
Au Danemark, les autorités veulent rendre la campagne à la nature. 15% des terres agricoles seront converties en forêts et zones naturelles d'ici 2045, avec une plantation prévue de 1 milliard d'arbres. Cependant, l'industrie du bois continue à couper les forêts, ce qui inquiète certains citoyens.
En Italie, la province de Trento propose des subventions pour acheter ou rénover des maisons en zone montagneuse, avec jusqu'à 100 000 euros. Ailleurs, certaines communes offrent des bons d'achat aux nouveaux arrivants et un bonus mensuel de 600 euros pour les familles.
En Pologne, la politique agricole commune et les fonds de cohésion ont transformé les agriculteurs en hommes d'affaires qui exportent vers l'Europe. Cependant, le nombre de personnes employées dans l'agriculture a diminué de 75% entre 1990 et 2020.
En Suède et en Finlande, la nature reprend ses droits, mais l'industrie du bois continue à couper les forêts. En Norvège, le gouvernement soutient les zones rurales avec des mesures telles que des crèches à prix réduit, des ferrys gratuits et des commissariats rouverts.
En Tchéquie et en Slovaquie, les villages sont un art de vivre. Les Tchèques et les Slovaques reviennent dans les villages pour vivre, avec une population qui reste majoritairement rurale. Selon le gouvernement tchèque, près d'un Slovaque sur deux vit à la campagne.
En Calabre, les autorités proposent des subventions de 5 000 euros pour s'installer dans des villages situés à plus de 300 mètres d'altitude, avec une condition de déménager sous quatre-vingt-dix jours.
En France, le modèle de l'Essentiel, bar-tabac-épicerie de Prunay-le-Gillon, montre que les bistrots restent souvent les derniers lieux de vie dans les campagnes où les commerces disparaissent. Les gérants, Céline et David Cardoso, connaissent chacun de leurs clients et savent qu'un bistrot qui ferme est la mort d'un village. L'absence de médecins est un sujet constant, mais les familles veulent plus que des pharmacies pour rester en campagne.
Au Danemark, les autorités veulent rendre la campagne à la nature. 15% des terres agricoles seront converties en forêts et zones naturelles d'ici 2045, avec une plantation prévue de 1 milliard d'arbres. Cependant, l'industrie du bois continue à couper les forêts, ce qui inquiète certains citoyens.
En Italie, la province de Trento propose des subventions pour acheter ou rénover des maisons en zone montagneuse, avec jusqu'à 100 000 euros. Ailleurs, certaines communes offrent des bons d'achat aux nouveaux arrivants et un bonus mensuel de 600 euros pour les familles.
En Pologne, la politique agricole commune et les fonds de cohésion ont transformé les agriculteurs en hommes d'affaires qui exportent vers l'Europe. Cependant, le nombre de personnes employées dans l'agriculture a diminué de 75% entre 1990 et 2020.
En Suède et en Finlande, la nature reprend ses droits, mais l'industrie du bois continue à couper les forêts. En Norvège, le gouvernement soutient les zones rurales avec des mesures telles que des crèches à prix réduit, des ferrys gratuits et des commissariats rouverts.
En Tchéquie et en Slovaquie, les villages sont un art de vivre. Les Tchèques et les Slovaques reviennent dans les villages pour vivre, avec une population qui reste majoritairement rurale. Selon le gouvernement tchèque, près d'un Slovaque sur deux vit à la campagne.
En Calabre, les autorités proposent des subventions de 5 000 euros pour s'installer dans des villages situés à plus de 300 mètres d'altitude, avec une condition de déménager sous quatre-vingt-dix jours.