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Les papeteries de Condat sont aux prises avec une situation désespérée. Des pertes de posts et une augmentation des coûts énergétiques ont mis en danger l'avenir du secteur. Les représentants des salariés, qui emploient un peu plus de 200 personnes sur la commune du Lardin-Saint-Lazare, sont déçus.
Le nouveau président Dominique Bernard a sollicité l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire, ce qui signifie que la société demande à un tribunal de prendre le contrôle des finances et des opérations de Condat afin de trouver une solution au problème. La direction s’en défend, mais les syndicats réclament l’actionnaire du groupe Lecta, qui n’est pas prêt à sauver l’entreprise.
Le secteur papetier est en pleine crise. Les salariés craignent le pire : la liquidation et le chômage. "Les salariés vont en prendre un coup", souffle Philippe Delord. Une situation qui pourrait mettre le départ des salariés en question.
Le groupe Lecta a longtemps été impliqué dans les difficultés du secteur, mais aujourd'hui il estime qu'il n'a plus la trésorerie pour sauver l'entreprise. Les élus locaux et les syndicats réclament son départ, qui pourrait mettre fin à Condat.
Les salariés attendent un repreneur sérieux avec des engagements honnêtes pour sauver l'entreprise. "On espère qu'il ait les reins assez solides pour pouvoir nous assumer", dit Patricia Canto.
Le nouveau président Dominique Bernard a sollicité l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire, ce qui signifie que la société demande à un tribunal de prendre le contrôle des finances et des opérations de Condat afin de trouver une solution au problème. La direction s’en défend, mais les syndicats réclament l’actionnaire du groupe Lecta, qui n’est pas prêt à sauver l’entreprise.
Le secteur papetier est en pleine crise. Les salariés craignent le pire : la liquidation et le chômage. "Les salariés vont en prendre un coup", souffle Philippe Delord. Une situation qui pourrait mettre le départ des salariés en question.
Le groupe Lecta a longtemps été impliqué dans les difficultés du secteur, mais aujourd'hui il estime qu'il n'a plus la trésorerie pour sauver l'entreprise. Les élus locaux et les syndicats réclament son départ, qui pourrait mettre fin à Condat.
Les salariés attendent un repreneur sérieux avec des engagements honnêtes pour sauver l'entreprise. "On espère qu'il ait les reins assez solides pour pouvoir nous assumer", dit Patricia Canto.