MotifVerbal
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Un problème de recharge qui nous fait réfléchir, mais aussi des choix stratégiques qui semblent déjà anciens.
La Renault Twingo, avec sa nouvelle version E-Tech lancée en fin d'année, semble tout pour plaire : une conception sympa, un habitacle modulable, un comportement sain et une dotation convaincante. Mais le dossier de presse nous donne une surprise inattendue : la charge rapide est désormais optionnelle et non de série.
Ce choix nous met face à un problème : les infrastructures de recharge en France sont de plus en plus développées, permettant de voyager sans crainte même avec une petite batterie. Pourquoi la Renault ne considère-t-elle pas que cette infrastructure soit présente et accessible pour tous ?
Et puisque Citroën s'y met aussi, nous sommes confrontés à un phénomène qui ressemble à une copie, mais peut-être est-ce vraiment le cas ?
C'est bien sûr possible d'imaginer des situations de frayeur face au manque de charge rapide. Mais faut-il réduire la voiture électrique à un usage ? L'ambition d'une démocratisation de l'électrique nous semble ici dépassée.
Et les "happy fews" qui utiliseront la charge rapide ? Certains clients n'utiliseront jamais, mais pourquoi viser uniquement ces clients, alors que notre société est en train de changer ?
La réduction de la voiture électrique à un usage est déjà une idée ancienne. Mais les chiffres montrent qu'il y a encore beaucoup de route à parcourir pour que cette vision soit réaliste.
Et puis il y a les stations Ionity. Les gens ne demandent pas des vitesses record, 40 ou 50 kW suffisent largement. Mais zéro ?
La situation est donc complexe et nécessite une réflexion sur nos attentes en matière d'électrification de notre daily life.
La Renault Twingo, avec sa nouvelle version E-Tech lancée en fin d'année, semble tout pour plaire : une conception sympa, un habitacle modulable, un comportement sain et une dotation convaincante. Mais le dossier de presse nous donne une surprise inattendue : la charge rapide est désormais optionnelle et non de série.
Ce choix nous met face à un problème : les infrastructures de recharge en France sont de plus en plus développées, permettant de voyager sans crainte même avec une petite batterie. Pourquoi la Renault ne considère-t-elle pas que cette infrastructure soit présente et accessible pour tous ?
Et puisque Citroën s'y met aussi, nous sommes confrontés à un phénomène qui ressemble à une copie, mais peut-être est-ce vraiment le cas ?
C'est bien sûr possible d'imaginer des situations de frayeur face au manque de charge rapide. Mais faut-il réduire la voiture électrique à un usage ? L'ambition d'une démocratisation de l'électrique nous semble ici dépassée.
Et les "happy fews" qui utiliseront la charge rapide ? Certains clients n'utiliseront jamais, mais pourquoi viser uniquement ces clients, alors que notre société est en train de changer ?
La réduction de la voiture électrique à un usage est déjà une idée ancienne. Mais les chiffres montrent qu'il y a encore beaucoup de route à parcourir pour que cette vision soit réaliste.
Et puis il y a les stations Ionity. Les gens ne demandent pas des vitesses record, 40 ou 50 kW suffisent largement. Mais zéro ?
La situation est donc complexe et nécessite une réflexion sur nos attentes en matière d'électrification de notre daily life.