MotifUrbain
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Aux portes du Capitole, une foule de "mamies en colère" a pris les rues samedi dernier pour défier l'autoritarisme de Donald Trump. Des milliers d'agitateurs, vestu de costumes gonflables et d'un style ironique hardi, ont piétiné la pelouse avec leurs baskets au soleil automnal, même si cela leur a obligés à retirer leurs doudounes sans manches.
"Pas de rois", éclamaient les manifestants, qui se sont retrouvés sur les trottoirs pour marcher dans la rue, comme s'ils n'en avaient plus besoin. Ce fut un spectacle inattendu, où l'ordre établi semblait avoir perdu toute signification.
Certains observateurs avaient prévu le pire, mais rien ne peut vraiment prédire les mouvements d'une foule de "mamies en colère". Ces femmes, âgées de 82 ans, comme Ellen Schwartz, ont fondé un groupe informel et international sans chef. Elles se sont réunies au Canada et s'est formée une petite scène avant de bombarder la foule de chansons subversives.
Leur stratégie est celle d'utiliser les outils numériques pour seminer l'anarchie, avec des codes QR sur leurs pancartes. "C'est un groupe marrant", explique Ellen Schwartz, mais cela ne nous surprend pas beaucoup.
Les manifestants ont démontré une grande cohésion et une communication efficace, tout en gardant un ton ironique hardi et sans tomber dans la violence. Il est donc impossible de prédire comment tout cela allait finir, mais il est clair que l'autorité établie a été défie avec succès.
Le mouvement des "No Kings" a manifesté ses forces dans les rues samedi dernier, et il reste à voir si cette démonstration peut se transformer en une lutte plus structurée contre l'oppression politique.
"Pas de rois", éclamaient les manifestants, qui se sont retrouvés sur les trottoirs pour marcher dans la rue, comme s'ils n'en avaient plus besoin. Ce fut un spectacle inattendu, où l'ordre établi semblait avoir perdu toute signification.
Certains observateurs avaient prévu le pire, mais rien ne peut vraiment prédire les mouvements d'une foule de "mamies en colère". Ces femmes, âgées de 82 ans, comme Ellen Schwartz, ont fondé un groupe informel et international sans chef. Elles se sont réunies au Canada et s'est formée une petite scène avant de bombarder la foule de chansons subversives.
Leur stratégie est celle d'utiliser les outils numériques pour seminer l'anarchie, avec des codes QR sur leurs pancartes. "C'est un groupe marrant", explique Ellen Schwartz, mais cela ne nous surprend pas beaucoup.
Les manifestants ont démontré une grande cohésion et une communication efficace, tout en gardant un ton ironique hardi et sans tomber dans la violence. Il est donc impossible de prédire comment tout cela allait finir, mais il est clair que l'autorité établie a été défie avec succès.
Le mouvement des "No Kings" a manifesté ses forces dans les rues samedi dernier, et il reste à voir si cette démonstration peut se transformer en une lutte plus structurée contre l'oppression politique.