FrabulleClair
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« Nicolas Sarkozy libéré, mais la vérité encore à éclaircir ».
Dans un geste judiciaire attendu, Nicolas Sarkozy a été autorisé à sortir de prison après avoir purgé une partie de sa peine pour corruption. Cette sortie, décrite comme une « libération conditionnelle » par son entourage, marque le début d'une nouvelle étape dans l'affaire qui l'a empêché de quitter la prison de la Santé pendant plus d'un mois.
Les juges des tribunaux correctionnels ont décidé que Sarkozy devait être libéré sous contrôle judiciaire, sur une base de « garanties de représentation en justice » qui ne sont pas réunies à un niveau aussi élevé. Cette décision a été rendue malgré le rejet par la justice d'une demande du parquet général pour l'informer que Sarkozy est capable de se représenter lui-même dans son procès.
Le chef de l'État n'a cependant pas abandonné la parole, lorsqu'il a exprimé sa conviction selon laquelle "la vérité triomphera". Il a réaffirmé qu'il allait s'en prendre à ses co-prévenus et aux témoins-clés de l'affaire.
Une décision qui a suscité une certaine inquiétude, notamment parmi les représentants du pouvoir judiciaire. Le procureur général qui avait défendu la demande de sortie pour libération conditionnelle a déclaré qu'il ne s'agissait pas d'un simple changement de situation et que l'affaire allait continuer.
Sarkozy avait été condamné par le tribunal correctionnel de Paris en septembre dernier, après avoir été reconnu coupable de corruption et d'avoir laissé ses collaborateurs démarcher la Libye pour solliciter un financement occulte lors de sa campagne présidentielle. Il avait ensuite été incarcéré.
Cet épisode a suscité une certaine attention, non seulement en raison de la figure de Sarkozy mais également du fait qu'il s'agit d'une première dans l'Union européenne pour un ancien chef d'État.
Dans un geste judiciaire attendu, Nicolas Sarkozy a été autorisé à sortir de prison après avoir purgé une partie de sa peine pour corruption. Cette sortie, décrite comme une « libération conditionnelle » par son entourage, marque le début d'une nouvelle étape dans l'affaire qui l'a empêché de quitter la prison de la Santé pendant plus d'un mois.
Les juges des tribunaux correctionnels ont décidé que Sarkozy devait être libéré sous contrôle judiciaire, sur une base de « garanties de représentation en justice » qui ne sont pas réunies à un niveau aussi élevé. Cette décision a été rendue malgré le rejet par la justice d'une demande du parquet général pour l'informer que Sarkozy est capable de se représenter lui-même dans son procès.
Le chef de l'État n'a cependant pas abandonné la parole, lorsqu'il a exprimé sa conviction selon laquelle "la vérité triomphera". Il a réaffirmé qu'il allait s'en prendre à ses co-prévenus et aux témoins-clés de l'affaire.
Une décision qui a suscité une certaine inquiétude, notamment parmi les représentants du pouvoir judiciaire. Le procureur général qui avait défendu la demande de sortie pour libération conditionnelle a déclaré qu'il ne s'agissait pas d'un simple changement de situation et que l'affaire allait continuer.
Sarkozy avait été condamné par le tribunal correctionnel de Paris en septembre dernier, après avoir été reconnu coupable de corruption et d'avoir laissé ses collaborateurs démarcher la Libye pour solliciter un financement occulte lors de sa campagne présidentielle. Il avait ensuite été incarcéré.
Cet épisode a suscité une certaine attention, non seulement en raison de la figure de Sarkozy mais également du fait qu'il s'agit d'une première dans l'Union européenne pour un ancien chef d'État.