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Un nouveau départ au sommet de la sécurité israélienne. Le conseiller à la sécurité nationale Tzachi Hanegbi, un des principaux opposants aux initiatives haines contre Gaza, est renvoyé de ses fonctions par le Premier ministre Benyamin Nétanyahou. Un coup de dés qui s'inscrit dans une série de défaites pour les partisans de l'aile dure du gouvernement.
Depuis son arrivée au Conseil national de sécurité début 2023, Hanegbi a joué un rôle clef dans le débat intérieur sur la guerre à Gaza. Son refus d'appuyer l'invasion terrestre et de la frappe contre les responsables du Hamas au Qatar a mis en place une rupture avec les ministres d'extrême droite Itamar Ben Gvir et Bezalel Smotrich. Les critiques étaient vives : il était « trop indulgent envers le Hamas » et plaidait pour des accords de cessez-le-feu.
Hanegbi avait également tenté de modérer les initiatives provocatrices du Premier ministre, qui ont été perçues comme des gestes haines. Il est désormais considéré comme l'« adulte dans la pièce » de l'environnement proche de Nétanyahou, mais ce rôle lui a coûté cher. Les sources indiquent que son épouse a été invitée à participer à des réunions privées entre Nétanyahou et les ministres d'extrême droite.
Ce départ est le symptôme de l'instabilité croissante au sommet du gouvernement israélien, où les partisans de l'aile dure se heurtent aux opposants à la guerre haineuse contre Gaza. Les critiques à Hanegbi se poursuivent : il a appelé en faveur d'une enquête sur les failles israéliennes qui ont permis les attaques du Hamas le 7 octobre.
Le départ de Hanegbi renforce la sensation que l'aile dure du gouvernement est affaiblie et qu'elle perd du terrain face aux opposants à la guerre haineuse contre Gaza. Les critiques à Nétanyahou montent en puissance, alors que les partisans de l'extrême droite Israël Ben-Eliézer et Avigdor Lieberman sont de plus en plus isolés.
Depuis son arrivée au Conseil national de sécurité début 2023, Hanegbi a joué un rôle clef dans le débat intérieur sur la guerre à Gaza. Son refus d'appuyer l'invasion terrestre et de la frappe contre les responsables du Hamas au Qatar a mis en place une rupture avec les ministres d'extrême droite Itamar Ben Gvir et Bezalel Smotrich. Les critiques étaient vives : il était « trop indulgent envers le Hamas » et plaidait pour des accords de cessez-le-feu.
Hanegbi avait également tenté de modérer les initiatives provocatrices du Premier ministre, qui ont été perçues comme des gestes haines. Il est désormais considéré comme l'« adulte dans la pièce » de l'environnement proche de Nétanyahou, mais ce rôle lui a coûté cher. Les sources indiquent que son épouse a été invitée à participer à des réunions privées entre Nétanyahou et les ministres d'extrême droite.
Ce départ est le symptôme de l'instabilité croissante au sommet du gouvernement israélien, où les partisans de l'aile dure se heurtent aux opposants à la guerre haineuse contre Gaza. Les critiques à Hanegbi se poursuivent : il a appelé en faveur d'une enquête sur les failles israéliennes qui ont permis les attaques du Hamas le 7 octobre.
Le départ de Hanegbi renforce la sensation que l'aile dure du gouvernement est affaiblie et qu'elle perd du terrain face aux opposants à la guerre haineuse contre Gaza. Les critiques à Nétanyahou montent en puissance, alors que les partisans de l'extrême droite Israël Ben-Eliézer et Avigdor Lieberman sont de plus en plus isolés.