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La Renaissance, le parti présidentiel d'Emmanuel Macron, a officiellement décidé de soutenir Pierre-Yves Bournazel pour les élections municipales à Paris. C'est un choix qui pourrait bien semer la zizanie au sein du parti et entre ses dirigeants. En tout cas, Rachida Dati, la ministre de la Culture, est hors course.
Le parti Renaissance a choisi de soutenir Bournazel plutôt que Dati après une réunion de son comité politique et de sa commission nationale d'investiture. Le parti, dirigé désormais par Gabriel Attal, avait déjà exprimé son soutien à Bournazel avant la décision officielle.
Les raisons du choix de Bournazel sont expliquées dans les déclarations de Valérie Gas, du service Politique de RFI. Selon elle, le parti a choisi Bournazel pour être un candidat de rassemblement et plus clair sur la gouvernance et le projet du parti.
Cependant, ce choix n'est pas sans créer des divisions au sein du parti et entre ses dirigeants. Sylvain Maillard, le patron de la fédération parisienne de Renaissance, a déjà indiqué qu'il comptait bien jouer un rôle dans la campagne de Rachida Dati et ne lèvera pas sa démission.
En outre, les soutiens à Rachida Dati sont loin d'être unanimes. Édouard Philippe, le président de Horizons, le parti duquel Bournazel est membre, a déjà exprimé son soutien à Bournazel pour la campagne des élections municipales.
Il faut noter que ce choix pourrait avoir des conséquences politiques importantes au cours des prochaines élections municipales. La division interne au sein de Renaissance pourrait semer la zizanie et compromettre l'unité du parti.
Le parti Renaissance a choisi de soutenir Bournazel plutôt que Dati après une réunion de son comité politique et de sa commission nationale d'investiture. Le parti, dirigé désormais par Gabriel Attal, avait déjà exprimé son soutien à Bournazel avant la décision officielle.
Les raisons du choix de Bournazel sont expliquées dans les déclarations de Valérie Gas, du service Politique de RFI. Selon elle, le parti a choisi Bournazel pour être un candidat de rassemblement et plus clair sur la gouvernance et le projet du parti.
Cependant, ce choix n'est pas sans créer des divisions au sein du parti et entre ses dirigeants. Sylvain Maillard, le patron de la fédération parisienne de Renaissance, a déjà indiqué qu'il comptait bien jouer un rôle dans la campagne de Rachida Dati et ne lèvera pas sa démission.
En outre, les soutiens à Rachida Dati sont loin d'être unanimes. Édouard Philippe, le président de Horizons, le parti duquel Bournazel est membre, a déjà exprimé son soutien à Bournazel pour la campagne des élections municipales.
Il faut noter que ce choix pourrait avoir des conséquences politiques importantes au cours des prochaines élections municipales. La division interne au sein de Renaissance pourrait semer la zizanie et compromettre l'unité du parti.