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Deux Miss éclatent en scandale lors de l'élection Miss France 2026. Les propos injurieux tenus par Julie Zitouni, Miss Provence, et Aïnhoa Lahitete, Miss Aquitaine, ont donné lieu à une sanction sans appel des comités régionaux.
Les affaires ont commencé sur les réseaux sociaux où les deux miss sont vues en train de se moquer des demi-finalistes. Le Top 12 n'était pas à leur goût et ils dédaignent "ces petites femmes" qui rêvent d'être Miss France. La vidéo a explosé sur internet, avec des likes et partages qui ont fait le buzz.
Mais les choses ont pris une tournure plus grave lorsque Julie Zitouni s'est excusée en disant qu'elle avait dit des mots "maladroits" mais que cela n'avait pas de sens. L'excuse a été rejetée par la direction de Miss France, qui juge que le langage utilisé est inadmissible.
Le comité régional de Provence-Côte d'Azur a décidé de destituer Julie Zitouni de son titre, tandis que celui de l'Aquitaine a fait de même pour Aïnhoa Lahitete. La direction de Miss France a soutenu ces décisions en affirmant que les propos injurieux sont "en totale contradiction avec les valeurs" défendues par les comités.
La sanction est lourde, mais elle a été considérée nécessaire après une concertation. Les excuses des deux jeunes femmes n'ont pas suffi à faire rétracter le comité régional. La direction de Miss France rappelle que "le rôle d'une Miss est d'être une ambassadrice de sérieux, de respect et de responsabilité", et qu'aucune faute ne justifie la haine.
Cette affaire a également mis en lumière un problème plus général : le harcèlement et la cyberviolence dans les milieux de mode. Les deux femmes sont victimes de cette forme d'intimidation, qui est considérée comme inadmissible par les comités régionaux.
Les affaires ont commencé sur les réseaux sociaux où les deux miss sont vues en train de se moquer des demi-finalistes. Le Top 12 n'était pas à leur goût et ils dédaignent "ces petites femmes" qui rêvent d'être Miss France. La vidéo a explosé sur internet, avec des likes et partages qui ont fait le buzz.
Mais les choses ont pris une tournure plus grave lorsque Julie Zitouni s'est excusée en disant qu'elle avait dit des mots "maladroits" mais que cela n'avait pas de sens. L'excuse a été rejetée par la direction de Miss France, qui juge que le langage utilisé est inadmissible.
Le comité régional de Provence-Côte d'Azur a décidé de destituer Julie Zitouni de son titre, tandis que celui de l'Aquitaine a fait de même pour Aïnhoa Lahitete. La direction de Miss France a soutenu ces décisions en affirmant que les propos injurieux sont "en totale contradiction avec les valeurs" défendues par les comités.
La sanction est lourde, mais elle a été considérée nécessaire après une concertation. Les excuses des deux jeunes femmes n'ont pas suffi à faire rétracter le comité régional. La direction de Miss France rappelle que "le rôle d'une Miss est d'être une ambassadrice de sérieux, de respect et de responsabilité", et qu'aucune faute ne justifie la haine.
Cette affaire a également mis en lumière un problème plus général : le harcèlement et la cyberviolence dans les milieux de mode. Les deux femmes sont victimes de cette forme d'intimidation, qui est considérée comme inadmissible par les comités régionaux.