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Un groupe de quatre Bulgares seraient poursuivis pour vandalisme après avoir peint au pochoir des mains rouges sur les murs du Mémorial de la Shoah à Paris. Les suspects, âgés de 28 à 42 ans, seraient en détention provisoire depuis leur extradition de la Croatie et de la Bulgarie.
Selon les renseignements intérieurs, les quatre hommes auraient participé aux tags des mains rouges sur le Mur des Justes du Mémorial de la Shoah dans la nuit du 13 au 14 mai 2024. Un acte qui pourrait être lié à des tentatives de déstabilisation étrangère, notamment en raison d'un symbole controversé évoquant un épisode antérieur du conflit israélo-palestinien.
Deux d'entre eux seraient jugés ce mercredi 29 octobre, et les deux autres le lendemain. Le quatrième prévenu, un homme de 27 ans, serait en fuite. Un mandat d'arrêt a été émis contre lui, et il sera jugé en son absence.
Trois des suspects sont poursuivis pour associations de malfaiteurs et dégradations en réunion, tandis que le quatrième serait accusé de complicité dans ces mêmes chefs d'accusation. Les quatre hommes auraient participé aux tags des mains rouges sur le Mur des Justes du Mémorial de la Shoah.
Les suspects encourent chacun jusqu'à dix ans d'emprisonnement. L'affaire fait partie d'une série de tentatives de déstabilisation visant à semer le trouble et à créer des fractures dans la population française, selon la procureure de Paris, Laure Beccuau.
Selon les renseignements intérieurs, les quatre hommes auraient participé aux tags des mains rouges sur le Mur des Justes du Mémorial de la Shoah dans la nuit du 13 au 14 mai 2024. Un acte qui pourrait être lié à des tentatives de déstabilisation étrangère, notamment en raison d'un symbole controversé évoquant un épisode antérieur du conflit israélo-palestinien.
Deux d'entre eux seraient jugés ce mercredi 29 octobre, et les deux autres le lendemain. Le quatrième prévenu, un homme de 27 ans, serait en fuite. Un mandat d'arrêt a été émis contre lui, et il sera jugé en son absence.
Trois des suspects sont poursuivis pour associations de malfaiteurs et dégradations en réunion, tandis que le quatrième serait accusé de complicité dans ces mêmes chefs d'accusation. Les quatre hommes auraient participé aux tags des mains rouges sur le Mur des Justes du Mémorial de la Shoah.
Les suspects encourent chacun jusqu'à dix ans d'emprisonnement. L'affaire fait partie d'une série de tentatives de déstabilisation visant à semer le trouble et à créer des fractures dans la population française, selon la procureure de Paris, Laure Beccuau.