Une journée de joie et de rédemption dans le sillon du pogrom du 7-Octobre à Tel-Aviv. Emmanuelle, mère d'un soldat israélien, évoque l'éventail des émotions qui la traversent depuis le retournement de la situation. "C'est une journée historique, quelque chose d'unique", déclare-t-elle avec émotion.
La libération des 48 otages israéliens pris en otages par les terroristes du Hamas constitue un tournant dans cette affaire qui a suscité le soulèvement de la population locale. Pour Emmanuelle, "d'abord, de savoir que nos otages sont entre de bonnes mains, c'est une réconfort". Mais ce n'est pas seulement cela : "je peux vous dire, moi qui suis mère de soldat, c'est quelque chose d'unique" ajoute-t-elle. Car pour la première fois, les otages libres ne seront pas forcés à faire leur service militaire pendant une guerre.
Mais cette journée de joie est également marquée par des déclarations inattendues : "Une vie ne vaut pas une vie chez nous", se permet Emmanuelle d'affirmer. "On relâche 2 000 terroristes avec du sang sur les mains, mais c'est pas grave parce que 48 otages israéliens ça vaut tout le peuple palestinien". Une affirmation qui suscite des réactions fortes, notamment parmi ceux qui considèrent cette déclaration comme une forme de "déni" du génocide perpétré contre les Juifs par le Hamas.
Et pourtant, Emmanuelle affirme avoir vécu une expérience de rédemption dans la place des otages. "C'est la terre sainte des trois religions", explique-t-elle. "Et cette unité-là, aujourd'hui, on l'a sentie". Des manifestants de tous âges et de toutes origines se sont réunis pour demander la libération des otages. Il n'y a pas eu de divisions entre gauche et droite, ni entre musulmans, chrétiens et juifs.
Une unité qui a éclairé Emmanuelle : "Il y avait Trump, pour moi, c'est l'homme de l'année". La figure du président américain semble être symbolique dans ce contexte.
La libération des 48 otages israéliens pris en otages par les terroristes du Hamas constitue un tournant dans cette affaire qui a suscité le soulèvement de la population locale. Pour Emmanuelle, "d'abord, de savoir que nos otages sont entre de bonnes mains, c'est une réconfort". Mais ce n'est pas seulement cela : "je peux vous dire, moi qui suis mère de soldat, c'est quelque chose d'unique" ajoute-t-elle. Car pour la première fois, les otages libres ne seront pas forcés à faire leur service militaire pendant une guerre.
Mais cette journée de joie est également marquée par des déclarations inattendues : "Une vie ne vaut pas une vie chez nous", se permet Emmanuelle d'affirmer. "On relâche 2 000 terroristes avec du sang sur les mains, mais c'est pas grave parce que 48 otages israéliens ça vaut tout le peuple palestinien". Une affirmation qui suscite des réactions fortes, notamment parmi ceux qui considèrent cette déclaration comme une forme de "déni" du génocide perpétré contre les Juifs par le Hamas.
Et pourtant, Emmanuelle affirme avoir vécu une expérience de rédemption dans la place des otages. "C'est la terre sainte des trois religions", explique-t-elle. "Et cette unité-là, aujourd'hui, on l'a sentie". Des manifestants de tous âges et de toutes origines se sont réunis pour demander la libération des otages. Il n'y a pas eu de divisions entre gauche et droite, ni entre musulmans, chrétiens et juifs.
Une unité qui a éclairé Emmanuelle : "Il y avait Trump, pour moi, c'est l'homme de l'année". La figure du président américain semble être symbolique dans ce contexte.