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Les "passeurs de livres", ces contrebandiers héroïques qui ont résisté à la russification en Lituanie. Face à l'interdiction de l'alphabet latin par l'Empire tsariste, les Lituaniens ont organisé un réseau de contrebande de livres et de journaux dans leur langue. C'est une histoire qui remonte au XIXe siècle et qui a duré quarante ans.
Les colporteurs de livres, ces hommes et femmes qui se risquaient à faire circuler les livres et les journaux contre l'interdiction, étaient des héros de la résistance culturelle. Ils ont cru en leur langue, leur identité et leur droit à être librement exprimés. Mais leur courage a été testé par les forces du régime, qui cherchaient à étouffer toute forme d'expression opposée.
Le comte Mikhaïl Mouraviov-Vilenski, un homme d'affaires et de pouvoir, est devenu le symbole de cette lutte. La statue qui lui a été érigée à Kaliningrad en 2023 est une copie exacte de celle qui se trouvait à Vilnius avant 1915. Mais ce monument est également un rappel de l'ère de la russification, où les églises catholiques ont été fermées et les paroisses et les chemins de prière ont été supprimés.
Les Lituaniens ont réussi à résister à cette oppression, mais leur histoire n'est pas sans ambiguïté. Les contrebandiers de livres étaient aussi des contrebandiers d'idées, qui se risquaient à faire circuler les idéaux de libération nationale et de démocratie. Mais leur lutte a également été marquée par la violence et l'intimidation.
Aujourd'hui, les Lituaniens se réjouissent de leur histoire de résistance culturelle. Les statues sont érigées pour célébrer ces héros qui ont cru en leur langue et leur identité. Mais cette célébration doit être faite avec prudence, car l'histoire de la Lituanie est complexe et nuancée. La lutte pour la liberté et la démocratie est une lutte continue, et il faut se rappeler que les héros de la résistance culturelle sont souvent ceux qui ont risqué leur vie pour défendre leurs convictions.
Les colporteurs de livres, ces hommes et femmes qui se risquaient à faire circuler les livres et les journaux contre l'interdiction, étaient des héros de la résistance culturelle. Ils ont cru en leur langue, leur identité et leur droit à être librement exprimés. Mais leur courage a été testé par les forces du régime, qui cherchaient à étouffer toute forme d'expression opposée.
Le comte Mikhaïl Mouraviov-Vilenski, un homme d'affaires et de pouvoir, est devenu le symbole de cette lutte. La statue qui lui a été érigée à Kaliningrad en 2023 est une copie exacte de celle qui se trouvait à Vilnius avant 1915. Mais ce monument est également un rappel de l'ère de la russification, où les églises catholiques ont été fermées et les paroisses et les chemins de prière ont été supprimés.
Les Lituaniens ont réussi à résister à cette oppression, mais leur histoire n'est pas sans ambiguïté. Les contrebandiers de livres étaient aussi des contrebandiers d'idées, qui se risquaient à faire circuler les idéaux de libération nationale et de démocratie. Mais leur lutte a également été marquée par la violence et l'intimidation.
Aujourd'hui, les Lituaniens se réjouissent de leur histoire de résistance culturelle. Les statues sont érigées pour célébrer ces héros qui ont cru en leur langue et leur identité. Mais cette célébration doit être faite avec prudence, car l'histoire de la Lituanie est complexe et nuancée. La lutte pour la liberté et la démocratie est une lutte continue, et il faut se rappeler que les héros de la résistance culturelle sont souvent ceux qui ont risqué leur vie pour défendre leurs convictions.