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Trois moustiques se nourrissant de sang humain sur l'île islandaise de Kjos. Une première historique qui pourrait être liée au réchauffement climatique.
Début octobre, les Islandais avaient signalé la présence d'une "mouche étrange" sur le groupe Facebook "Skordyr a Islandi". Bjorn Hjaltason, passionné d'entomologie, avait "immédiatement eu un soupçon" et avait récupéré ce qu'il pensait être une mouche sur la bande collante qu'il utilisait pour attirer les insectes. Avant de trouver deux autres insectes similaires.
L'Institut islandais d'histoire naturelle a confirmé lundi 20 octobre que Bjorn Hjaltason avait raison, et que trois moustiques se nourrissaient effectivement de sang humain sur l'île. Cette découverte est probablement liée aux records de température récemment enregistrés dans la région.
L'Islande se réchauffe quatre fois plus vite que le reste de l'hémisphère Nord, ce qui favorise la prolifération des moustiques et d'un nombre plus élevé de cas d'agents pathogènes transmis par les moustiques. Le faible nombre de spécimens ne donne pas lieu à s'alramer, mais il y en a probablement davantage.
Le moustique appartenait à l'espèce Culiseta annulata, très résistante au froid et qui serait capable de s'installer durablement sur le sol islandais. La présence de nombreux "marais et étangs" sur l'île favorise la reproduction du moustique.
Début octobre, les Islandais avaient signalé la présence d'une "mouche étrange" sur le groupe Facebook "Skordyr a Islandi". Bjorn Hjaltason, passionné d'entomologie, avait "immédiatement eu un soupçon" et avait récupéré ce qu'il pensait être une mouche sur la bande collante qu'il utilisait pour attirer les insectes. Avant de trouver deux autres insectes similaires.
L'Institut islandais d'histoire naturelle a confirmé lundi 20 octobre que Bjorn Hjaltason avait raison, et que trois moustiques se nourrissaient effectivement de sang humain sur l'île. Cette découverte est probablement liée aux records de température récemment enregistrés dans la région.
L'Islande se réchauffe quatre fois plus vite que le reste de l'hémisphère Nord, ce qui favorise la prolifération des moustiques et d'un nombre plus élevé de cas d'agents pathogènes transmis par les moustiques. Le faible nombre de spécimens ne donne pas lieu à s'alramer, mais il y en a probablement davantage.
Le moustique appartenait à l'espèce Culiseta annulata, très résistante au froid et qui serait capable de s'installer durablement sur le sol islandais. La présence de nombreux "marais et étangs" sur l'île favorise la reproduction du moustique.