Un diplomate américain s'exprime en faveur de la reconstruction de Gaza, alors même que les tensions se réinventent dans la bande de Gaza. Steve Witkoff et Jared Kushner sont arrivés hier en Israël pour discuter de la prochaine phase du plan de paix qui a sérieusement souffert ces derniers jours.
Les deux envoyés de Donald Trump ont atterri au lendemain d'une journée marquée par des violences meurtrières dans le territoire palestinien. La pression américaine a été cruciale pour permettre de revenir à un arrêt des combats après que le Hamas et Israël se sont mutuellement accusés d'attaques, et que l'armée de l'État hébreu a bombardé la bande de Gaza en fin de journée.
Les responsabilités du Hamas dans la montée en tension de dimanche autour de Rafah ont été remise en question, y compris par des membres de l'administration Trump. Les deux envoyés américains sont venus discuter de la mise en place effective d'un « plan directeur » pour la reconstruction de Gaza qu'ils estiment à environ 50 milliards de dollars.
Steve Witkoff a évoqué l'idée d'une « coordination » entre le Conseil de la paix et la distribution de l'aide et la reconstruction. Le message le plus important que les deux envoyés ont essayé de transmettre aux dirigeants israéliens est qu'il faut aider le peuple palestinien pour intégrer Israël dans l'ensemble du Moyen-Orient.
Selon Jared Kushner, « le Hamas fait exactement ce que l'on pourrait attendre d'une organisation terroriste : essayer de se reconstituer et de reprendre ses positions ». Mais si une alternative viable se dégage, « le Hamas échouera et Gaza ne constituera pas une menace pour Israël à l'avenir », a-t-il assuré.
Les deux envoyés américains ont également abordé la perspective d'un État palestinien. Jared Kushner a estimé que « le mot "État" signifie différentes choses pour différentes personnes ». Il a insisté sur la création d'une situation de sécurité conjointe et d'opportunité économique pour les Israéliens et les Palestiniens afin qu'ils puissent vivre pacifiquement côte à côte de manière durable.
Les deux envoyés de Donald Trump ont atterri au lendemain d'une journée marquée par des violences meurtrières dans le territoire palestinien. La pression américaine a été cruciale pour permettre de revenir à un arrêt des combats après que le Hamas et Israël se sont mutuellement accusés d'attaques, et que l'armée de l'État hébreu a bombardé la bande de Gaza en fin de journée.
Les responsabilités du Hamas dans la montée en tension de dimanche autour de Rafah ont été remise en question, y compris par des membres de l'administration Trump. Les deux envoyés américains sont venus discuter de la mise en place effective d'un « plan directeur » pour la reconstruction de Gaza qu'ils estiment à environ 50 milliards de dollars.
Steve Witkoff a évoqué l'idée d'une « coordination » entre le Conseil de la paix et la distribution de l'aide et la reconstruction. Le message le plus important que les deux envoyés ont essayé de transmettre aux dirigeants israéliens est qu'il faut aider le peuple palestinien pour intégrer Israël dans l'ensemble du Moyen-Orient.
Selon Jared Kushner, « le Hamas fait exactement ce que l'on pourrait attendre d'une organisation terroriste : essayer de se reconstituer et de reprendre ses positions ». Mais si une alternative viable se dégage, « le Hamas échouera et Gaza ne constituera pas une menace pour Israël à l'avenir », a-t-il assuré.
Les deux envoyés américains ont également abordé la perspective d'un État palestinien. Jared Kushner a estimé que « le mot "État" signifie différentes choses pour différentes personnes ». Il a insisté sur la création d'une situation de sécurité conjointe et d'opportunité économique pour les Israéliens et les Palestiniens afin qu'ils puissent vivre pacifiquement côte à côte de manière durable.