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Dimanche 26 octobre, les électeurs argentin s'apprêtent à renouveler le Congrès, tandis que Javier Milei se doit de renforcer son pouvoir au Parlement pour continuer son axe d'austérité. Cependant, le président argentin est bloqué par un Congrès où son parti est minoritaire.
Selon David Copello, spécialiste de l'Argentine, ces élections sont des tests importants pour la politique du gouvernement. Le Parti de Javier Milei peut espérer quelques sièges même si les résultats sont mauvais, mais le pays vit encore sous le poids d'une économie fragile et une inflation qui a dépassé 200%. La stabilité ne repose que sur l'aide des FMI et des réserves de dollars américains.
Le président argentin est cependant confronté à des problèmes internes, notamment des scandales de corruption dans son entourage. Ces affaires ont fragilisé son image et compliqué la campagne du parti au pouvoir. En outre, la popularité du président baisse, près d'un Argentin sur deux rejettent aujourd'hui Javier Milei.
Le système politique argentin donne plus de pouvoir au président qu'aux États-Unis, il peut déjà bloquer toute loi qui lui est défavorable et gouverner par décret. Cependant, l'alliance du parti avec la droite classique et les petits partis provinciaux sera cruciale pour son avenir. Et Washington ne tarde pas à prendre position, car Donald Trump a conditionné son soutien financier à une victoire de Javier Milei.
En résumé, ces élections sont des défis importants pour le gouvernement argentin, qui doit affronter les enjeux économiques et politiques avec une majorité fragile.
Selon David Copello, spécialiste de l'Argentine, ces élections sont des tests importants pour la politique du gouvernement. Le Parti de Javier Milei peut espérer quelques sièges même si les résultats sont mauvais, mais le pays vit encore sous le poids d'une économie fragile et une inflation qui a dépassé 200%. La stabilité ne repose que sur l'aide des FMI et des réserves de dollars américains.
Le président argentin est cependant confronté à des problèmes internes, notamment des scandales de corruption dans son entourage. Ces affaires ont fragilisé son image et compliqué la campagne du parti au pouvoir. En outre, la popularité du président baisse, près d'un Argentin sur deux rejettent aujourd'hui Javier Milei.
Le système politique argentin donne plus de pouvoir au président qu'aux États-Unis, il peut déjà bloquer toute loi qui lui est défavorable et gouverner par décret. Cependant, l'alliance du parti avec la droite classique et les petits partis provinciaux sera cruciale pour son avenir. Et Washington ne tarde pas à prendre position, car Donald Trump a conditionné son soutien financier à une victoire de Javier Milei.
En résumé, ces élections sont des défis importants pour le gouvernement argentin, qui doit affronter les enjeux économiques et politiques avec une majorité fragile.