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L'élue écologiste Marine Tondelier se lance à la tête de la gauche aux élections présidentielles de 2027. Un acte d'amour pour la France, selon elle.
Convaincue que le chemin existe pour une victoire, Mme Tondelier souhaite remporter la primaire des Écologistes et de la gauche, dont les règles seront connues avant fin d'année. Son parti devrait désigner sa candidature sans surprise. Outre Mme Tondelier, François Ruffin et Clémentine Autain sont déjà candidats.
« La condition de la victoire, c'est une candidature dans laquelle un maximum d'électeurs de gauche se retrouvent », explique-t-elle. Malheureusement, le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon et le dirigeant de Place Publique Raphaël Glucksmann refusent d'y participer.
Mme Tondelier leur propose cependant un débat sur le sujet. « Je préfère en débattre avec eux maintenant que quand il sera trop tard et qu'ils se renverront la responsabilité de l'échec au visage », affirme-t-elle.
Avec une vision claire du futur, Mme Tondelier a forgé sa carrière politique dans le territoire où elle est élue, Hénin-Baumont. « Je viens d'un territoire où on ne baisse pas la tête », résume-t-elle. Elle souhaite aider à relever celui de tout un pays.
« J'suis une femme, jeune, écologiste, je viens du bassin minier du Pas-de-Calais alors j'y suis prête », ajoute-t-elle. Elle considère qu'une présidente écologiste doit être un bouclier pour les Français.
Pour Mme Tondelier, il s'agit de « réparer ce qui a été abîmé ». Les services publics, la démocratie, l'environnement et le lien entre les Français sont au cœur de son programme.
Convaincue que le chemin existe pour une victoire, Mme Tondelier souhaite remporter la primaire des Écologistes et de la gauche, dont les règles seront connues avant fin d'année. Son parti devrait désigner sa candidature sans surprise. Outre Mme Tondelier, François Ruffin et Clémentine Autain sont déjà candidats.
« La condition de la victoire, c'est une candidature dans laquelle un maximum d'électeurs de gauche se retrouvent », explique-t-elle. Malheureusement, le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon et le dirigeant de Place Publique Raphaël Glucksmann refusent d'y participer.
Mme Tondelier leur propose cependant un débat sur le sujet. « Je préfère en débattre avec eux maintenant que quand il sera trop tard et qu'ils se renverront la responsabilité de l'échec au visage », affirme-t-elle.
Avec une vision claire du futur, Mme Tondelier a forgé sa carrière politique dans le territoire où elle est élue, Hénin-Baumont. « Je viens d'un territoire où on ne baisse pas la tête », résume-t-elle. Elle souhaite aider à relever celui de tout un pays.
« J'suis une femme, jeune, écologiste, je viens du bassin minier du Pas-de-Calais alors j'y suis prête », ajoute-t-elle. Elle considère qu'une présidente écologiste doit être un bouclier pour les Français.
Pour Mme Tondelier, il s'agit de « réparer ce qui a été abîmé ». Les services publics, la démocratie, l'environnement et le lien entre les Français sont au cœur de son programme.