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Les tensions entre Airbus et Dassault Aviation autour du système de combat aérien du futur (SCAF) semblent s'intensifier. Le président d'Airbus, Guillaume Faury, a récemment remis en question l'alliance franco-allemande avec une phrase qui pourrait déstabiliser les relations entre les deux entreprises : « Si vous n'êtes pas contents avec ce qui a été décidé et que vous ne êtes pas d'accord pour continuer, vous pouvez quitter le SCAF ».
Cette remise en question est un signal fort que l'alliance franco-allemande est à nouveau en difficulté. Les deux entreprises ont besoin de s'accord sur les projets et les finances pour développer le SCAF, qui devrait faire son appareil dans les prochaines années.
Dassault Aviation a toujours été convaincue d'avoir la meilleure expérience pour développer un avion de combat piloté, ce qui pourrait être une partie clé du projet SCAF. Cependant, l'entreprise ne semble pas avoir assez les coudées franches pour diriger le projet, ce qui pourrait entraîner des problèmes de gouvernance.
Les difficultés d'entente entre Airbus et Dassault Aviation font craindre un retard dans le développement du SCAF. La phase 2 doit être lancée en 2026 et durera jusqu'en 2030 pour déboucher sur la réalisation d'un démonstrateur de vol, qui servira de base à la construction du NGF.
Au-delà des questions industrielles, il y a aussi des considérations stratégiques. Le SCAF est un projet coûteux qui devrait être supportable à plusieurs. Les pays tels que les États-Unis, la Chine, la Russie, l'Inde et le Japon lancent également dans cette course pour un chasseur de combat de nouvelle génération.
Il semblerait que Dassault Aviation soit prête à quitter l'alliance franco-allemande si elle ne peut pas s'accord avec Airbus. La question est maintenant : ce qui se passera ensuite ?
Cette remise en question est un signal fort que l'alliance franco-allemande est à nouveau en difficulté. Les deux entreprises ont besoin de s'accord sur les projets et les finances pour développer le SCAF, qui devrait faire son appareil dans les prochaines années.
Dassault Aviation a toujours été convaincue d'avoir la meilleure expérience pour développer un avion de combat piloté, ce qui pourrait être une partie clé du projet SCAF. Cependant, l'entreprise ne semble pas avoir assez les coudées franches pour diriger le projet, ce qui pourrait entraîner des problèmes de gouvernance.
Les difficultés d'entente entre Airbus et Dassault Aviation font craindre un retard dans le développement du SCAF. La phase 2 doit être lancée en 2026 et durera jusqu'en 2030 pour déboucher sur la réalisation d'un démonstrateur de vol, qui servira de base à la construction du NGF.
Au-delà des questions industrielles, il y a aussi des considérations stratégiques. Le SCAF est un projet coûteux qui devrait être supportable à plusieurs. Les pays tels que les États-Unis, la Chine, la Russie, l'Inde et le Japon lancent également dans cette course pour un chasseur de combat de nouvelle génération.
Il semblerait que Dassault Aviation soit prête à quitter l'alliance franco-allemande si elle ne peut pas s'accord avec Airbus. La question est maintenant : ce qui se passera ensuite ?