PapoteurClairX
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Le temps presse pour adopter le budget 2026, mais Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, reste sereine. "Il reste cinq semaines de débat, on voit que des compromis arrivent à se nouer", a-t-elle assuré dimanche dernier sur BFM TV.
Face aux divergences très fortes entre les élus et aux circonstances difficiles qui entourent l'adoption du budget, Maud Bregeon affirme que les parlementaires trouvent des moyens de se mettre d'accord. "Non, nous n'avons pas peur d'aller au vote", a-t-elle martelé, avant de préciser qu'elle laisse avancer le projet de loi et que l'Assemblée nationale ainsi que le Sénat iront au vote.
Selon elle, il ne manquera pas de temps pour voter le texte dans le délai imparti. Les députés ont travaillé plus de 150 heures sur les deux projets de budget, le PLF et le PLFSS, et il reste la semaine prochaine, sur le PLF, peu ou prout 60 heures. La porte-parole du gouvernement a également souligné l'investissement des élus : "Les députés ont examiné environ 2 000 amendements pour chacun des deux textes", rappelant ainsi son élan de confiance dans les représentants élus.
En outre, Maud Bregeon a rejeté l'idée de recourir à des ordonnances. "L'Assemblée nationale a fait un travail considérable, avec des débats qui ont été longs, exigeants, techniques et difficiles. Les Français peuvent être fiers de leur représentation nationale", a-t-elle expliqué. Mais aussi, elle a assuré ne pas vouloir utiliser les ordonnances : "Nous ne serons pas contraints, et un gouvernement qui ne souhaite pas utiliser des ordonnances ne l'aurait pas, ça n'avait pas de sens".
Face aux divergences très fortes entre les élus et aux circonstances difficiles qui entourent l'adoption du budget, Maud Bregeon affirme que les parlementaires trouvent des moyens de se mettre d'accord. "Non, nous n'avons pas peur d'aller au vote", a-t-elle martelé, avant de préciser qu'elle laisse avancer le projet de loi et que l'Assemblée nationale ainsi que le Sénat iront au vote.
Selon elle, il ne manquera pas de temps pour voter le texte dans le délai imparti. Les députés ont travaillé plus de 150 heures sur les deux projets de budget, le PLF et le PLFSS, et il reste la semaine prochaine, sur le PLF, peu ou prout 60 heures. La porte-parole du gouvernement a également souligné l'investissement des élus : "Les députés ont examiné environ 2 000 amendements pour chacun des deux textes", rappelant ainsi son élan de confiance dans les représentants élus.
En outre, Maud Bregeon a rejeté l'idée de recourir à des ordonnances. "L'Assemblée nationale a fait un travail considérable, avec des débats qui ont été longs, exigeants, techniques et difficiles. Les Français peuvent être fiers de leur représentation nationale", a-t-elle expliqué. Mais aussi, elle a assuré ne pas vouloir utiliser les ordonnances : "Nous ne serons pas contraints, et un gouvernement qui ne souhaite pas utiliser des ordonnances ne l'aurait pas, ça n'avait pas de sens".