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La guerre à Gaza, une paix qui semble toujours hors de portée ? La phase de libération des otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens a réellement apporté un soulagement, mais le fragile cessez-le-feu doit maintenant permettre d'organiser les prochaines étapes du plan de Donald Trump.
C'est dans ce contexte complexe que l'on trouve la réponse de Trump : "la guerre à Gaza est finie". Un aveu qui a suscité une grande perplexité, notamment chez ceux qui ont entendu dire qu'"il s'agissait de la partie la plus facile" de la reconstruction de Gaza.
Mais quelles sont les étapes suivantes ? Comment se réconcilier avec un Hamas qui ne cesse d'être considéré comme une entité terroriste par nombre de pays, dont notamment Israël et les États-Unis ?
Pour cela, il faut bien regarder le tableau complet du plan proposé par Trump. Tout d'abord, il y a la création d'une nouvelle autorité palestinienne qui sera responsable des affaires économiques et sociales, tandis que l'autorité militaire restera sous contrôle israélien. Ensuite, il y a la construction de routes et de ponts pour relier Gaza à Israël et à ses voisins, ainsi que la création d'une zone libre dans la bande de Gaza.
Mais il faut prendre garde à ce que Trump propose : une grande part de ces fonds est allouée aux réfugiés palestiniens, essentiellement en Jordanie et en Syrie.
La question de l'avenir de Gaza se pose donc sous une forme complexe. Pour certains, le retrait israélien a permis au Hamas de prendre le dessus et de chasser les clans rivaux et les "collaborateurs". D'autres pensent que c'est un moment pour la coopération avec Israël, voire l'alliance.
L'Autorité palestinienne lui-même est-elle prête à s'engager dans une telle cohabitation ? Lorsqu'on a vu Macron faire preuve d'un fort soutien envers l'autorité de Fayyad, il semblait que la réponse était oui. Mais pour cela, il faut s'assurer que les fonds alloués aux réfugiés palestiniens soient réellement utilisés dans le but prévu.
La France, qui joue un rôle important dans le conflit, est-elle prête à soutenir ces efforts ? Le président Macron a assuré que la France jouerait son "rôle", mais c'est une promesse difficile à tenir.
C'est dans ce contexte complexe que l'on trouve la réponse de Trump : "la guerre à Gaza est finie". Un aveu qui a suscité une grande perplexité, notamment chez ceux qui ont entendu dire qu'"il s'agissait de la partie la plus facile" de la reconstruction de Gaza.
Mais quelles sont les étapes suivantes ? Comment se réconcilier avec un Hamas qui ne cesse d'être considéré comme une entité terroriste par nombre de pays, dont notamment Israël et les États-Unis ?
Pour cela, il faut bien regarder le tableau complet du plan proposé par Trump. Tout d'abord, il y a la création d'une nouvelle autorité palestinienne qui sera responsable des affaires économiques et sociales, tandis que l'autorité militaire restera sous contrôle israélien. Ensuite, il y a la construction de routes et de ponts pour relier Gaza à Israël et à ses voisins, ainsi que la création d'une zone libre dans la bande de Gaza.
Mais il faut prendre garde à ce que Trump propose : une grande part de ces fonds est allouée aux réfugiés palestiniens, essentiellement en Jordanie et en Syrie.
La question de l'avenir de Gaza se pose donc sous une forme complexe. Pour certains, le retrait israélien a permis au Hamas de prendre le dessus et de chasser les clans rivaux et les "collaborateurs". D'autres pensent que c'est un moment pour la coopération avec Israël, voire l'alliance.
L'Autorité palestinienne lui-même est-elle prête à s'engager dans une telle cohabitation ? Lorsqu'on a vu Macron faire preuve d'un fort soutien envers l'autorité de Fayyad, il semblait que la réponse était oui. Mais pour cela, il faut s'assurer que les fonds alloués aux réfugiés palestiniens soient réellement utilisés dans le but prévu.
La France, qui joue un rôle important dans le conflit, est-elle prête à soutenir ces efforts ? Le président Macron a assuré que la France jouerait son "rôle", mais c'est une promesse difficile à tenir.