PapoteurLibre
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La voiture électrique continue de faire des sauts dans les ventes en Europe, mais derrière ce signal positif, la industrie automobile reste inquiète. Le marché automobile européen a connu un léger rebond en septembre 2025, avec une part de marché de la voiture électrique qui atteint 19 % pour 167 586 unités immatriculées.
Cependant, les constructeurs automobiles s'inquiètent du fait que ce sursis reste fragile. Les efforts pour rendre la voiture électrique plus abordable ont porté leurs fruits, mais les véhicules plus cossus ralentissent en conséquence. Les modèles plus accessibles comme la Renault 5 E-Tech, le Skoda Elroq et la Citroën ë-C3 sont les principaux moteurs de cette progression.
Les chiffres montrent que la voiture électrique a gagné 22 % en septembre par rapport à l'année précédente, soit une progression de 20 % pour la voiture électrique en Europe sans inclure les marchés de Norvège, Suisse et Royaume-Uni. La tendance est similaire sur le cumul annuel de janvier à septembre 2025, avec une progression de +25,4 %.
Cependant, des marques comme Tesla ont repris la tête de la compétition, avec un volume de 38 028 exemplaires en septembre 2025, soit une baisse de -12 % par rapport à l'année précédente. Les constructeurs européens restent en difficulté, notamment Renault qui se classe à la 4e place du mois de septembre avec 6 449 exemplaires.
Les incertitudes politiques sur le calendrier 2035, la montée des tensions commerciales entre l'Occident et la Chine, ainsi que la volatilité économique européenne fragilisent les perspectives. Le chancelier Friedrich Merz plaide pour un assouplissement des règles CO2 en Allemagne, tandis que la France demande davantage de flexibilité réglementaire pour protéger son industrie.
En fin de compte, il est difficile de construire des bases solides pour l'industrie automobile électrique face à ces incertitudes. Le terrain est trop meuble, et il faut attendre les résultats pour savoir si la voiture électrique pourra continuer à prospérer en Europe.
Cependant, les constructeurs automobiles s'inquiètent du fait que ce sursis reste fragile. Les efforts pour rendre la voiture électrique plus abordable ont porté leurs fruits, mais les véhicules plus cossus ralentissent en conséquence. Les modèles plus accessibles comme la Renault 5 E-Tech, le Skoda Elroq et la Citroën ë-C3 sont les principaux moteurs de cette progression.
Les chiffres montrent que la voiture électrique a gagné 22 % en septembre par rapport à l'année précédente, soit une progression de 20 % pour la voiture électrique en Europe sans inclure les marchés de Norvège, Suisse et Royaume-Uni. La tendance est similaire sur le cumul annuel de janvier à septembre 2025, avec une progression de +25,4 %.
Cependant, des marques comme Tesla ont repris la tête de la compétition, avec un volume de 38 028 exemplaires en septembre 2025, soit une baisse de -12 % par rapport à l'année précédente. Les constructeurs européens restent en difficulté, notamment Renault qui se classe à la 4e place du mois de septembre avec 6 449 exemplaires.
Les incertitudes politiques sur le calendrier 2035, la montée des tensions commerciales entre l'Occident et la Chine, ainsi que la volatilité économique européenne fragilisent les perspectives. Le chancelier Friedrich Merz plaide pour un assouplissement des règles CO2 en Allemagne, tandis que la France demande davantage de flexibilité réglementaire pour protéger son industrie.
En fin de compte, il est difficile de construire des bases solides pour l'industrie automobile électrique face à ces incertitudes. Le terrain est trop meuble, et il faut attendre les résultats pour savoir si la voiture électrique pourra continuer à prospérer en Europe.