TchatcheurMystère
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La victoire de Donald Trump n'est pas un simple hasard électoral, et c'est déjà une première fois que l'on voit cela. Le milliardaire américain a imposé sa vision du monde avec une certitude qui a surprise beaucoup, notamment les Européens. La question est maintenant de savoir quelles sont les conséquences de cette victoire, qui marque durablement la présidence américaine.
Selon Mathieu Bock-Côté, essayiste et auteur du livre "Les Deux Occidents", la victoire de Trump n'est pas un simple accident. En effet, il y avait déjà une révolte populaire en cours dans le monde occidental, notamment en Europe, depuis les années 1990. Cette révolte qui traverse l'ensemble du continent est celle que portait Donald Trump lorsqu'il se présenta à l'élection présidentielle américaine de 2016.
La philosophie du monde de Trump, c'est-à-dire une vision contraires aux valeurs occidentales et européennes, a traversé le monde occidental. Et c'est pour cela que son élection n'a pas été un simple hasard, mais plutôt un moment où cette révolte populaire a trouvé un acteur clé dans l'histoire.
Mais si la société américaine reste divisée sur le personnage de Trump, l'Europe se demande comment gérer la crise que cela représente. Selon Mathieu Bock-Côté, c'est là qu'il y a une rupture complète entre les valeurs que Trump défend et celles qui sont construites en Europe depuis les années 1990.
"Trump prend le pouvoir au cœur d'un empire", explique l'essayiste. Et cela signifie que la vision du monde de Trump est complètement en rupture avec ce qui se crée en Europe, qui s'est construite sur des valeurs telles que la démocratie, la justice sociale et les droits de l'homme.
Mais l'Europe a décidé de prendre le contrôle de cette situation. Selon Mathieu Bock-Côté, il y a une nouvelle stratégie pour lutter contre la victoire des populistes en Europe, qui consiste à créer un nouveau mur de Berlin numérique. C'est-à-dire à établir des règlements, des lois et des normes pour empêcher que les valeurs populistes ne soient à nouveau mises en question.
C'est une stratégie pour lutter contre la victoire possible des populistes, mais c'est aussi une tentative de prendre le contrôle du débat public et de protéger les valeurs qui sont enjeu. Cela signifie que l'Europe se prépare à une nouvelle phase de la politique populaire, où les valeurs démocratiques et sociales seront mises en question.
Selon Mathieu Bock-Côté, essayiste et auteur du livre "Les Deux Occidents", la victoire de Trump n'est pas un simple accident. En effet, il y avait déjà une révolte populaire en cours dans le monde occidental, notamment en Europe, depuis les années 1990. Cette révolte qui traverse l'ensemble du continent est celle que portait Donald Trump lorsqu'il se présenta à l'élection présidentielle américaine de 2016.
La philosophie du monde de Trump, c'est-à-dire une vision contraires aux valeurs occidentales et européennes, a traversé le monde occidental. Et c'est pour cela que son élection n'a pas été un simple hasard, mais plutôt un moment où cette révolte populaire a trouvé un acteur clé dans l'histoire.
Mais si la société américaine reste divisée sur le personnage de Trump, l'Europe se demande comment gérer la crise que cela représente. Selon Mathieu Bock-Côté, c'est là qu'il y a une rupture complète entre les valeurs que Trump défend et celles qui sont construites en Europe depuis les années 1990.
"Trump prend le pouvoir au cœur d'un empire", explique l'essayiste. Et cela signifie que la vision du monde de Trump est complètement en rupture avec ce qui se crée en Europe, qui s'est construite sur des valeurs telles que la démocratie, la justice sociale et les droits de l'homme.
Mais l'Europe a décidé de prendre le contrôle de cette situation. Selon Mathieu Bock-Côté, il y a une nouvelle stratégie pour lutter contre la victoire des populistes en Europe, qui consiste à créer un nouveau mur de Berlin numérique. C'est-à-dire à établir des règlements, des lois et des normes pour empêcher que les valeurs populistes ne soient à nouveau mises en question.
C'est une stratégie pour lutter contre la victoire possible des populistes, mais c'est aussi une tentative de prendre le contrôle du débat public et de protéger les valeurs qui sont enjeu. Cela signifie que l'Europe se prépare à une nouvelle phase de la politique populaire, où les valeurs démocratiques et sociales seront mises en question.
Trump, c'est comme un virus qui a infecté l'amérique, mais aussi l'éurope et le monde entier. Je ne sais pas si cette stratégie de création d'un mur de Berlin numérique va être efficace, mais j'aime bien l'idée de prendre le contrôle du débat public. C'est comme si on voulait dire "pas de non" aux populistes et en dit bonjour aux valeurs de la République démocratique. Et c'est juste ce dont les Européens ont besoin maintenant, un peu de courage pour prendre des décisions hardies. Mais je pense que cela va être difficile, il y a beaucoup de gens qui sont divisés sur Trump et ses idées. Cela me fait penser à une chose, l'Europe devrait se rassembler et parler d'une seule voix contre les valeurs populistes. C'est comme si on voulait dire "non" aux populistes et en dit oui aux valeurs démocratiques. 
... Je pense que nous devons réfléchir à notre propre place dans le monde et à nos propres valeurs, et pas justement dénigrer les autres pour avoir des opinions différentes. Cela va nous rendre plus vulnérables contre la propagande de Trump 
. Il faut donc nous concentrer sur ce qui nous unite et pas sur ce qui nous divise. Et surtout, il faut protéger nos droits de l'homme et notre démocratie 
. Nous ne pouvons pas nous fier à un système de règles numériques pour le contrôler, c'est trop simpliste 
.
et oui ben l'Europe se demande comment gérer cette crise, mais ça veut dire que les Européens vont devoir être plus drôles que lui pour pas leisser pas la place aux populistes. 
Cette victoire de Trump est vraiment un sujet de conversation qui ne cesse d'éclabousser... et je pense que c'est parce qu'on y trouve du plaisir à discuter de la folie des gens. 
Et pour aller plus loin, l'idée d'un "mur de Berlin numérique" me semble un peu trop simpliste... ou est-ce que c'est juste moi qui ne comprends pas ? 
️ 50% d'Américains ont voté pour Trump, c'est vraiment incroyable ! 
Cela montre bien que la campagne de Trump était basée sur des promesses de renouvellement et de rupture avec les élites politiques américaines. 
Mais, selon mes données, il y a eu une augmentation de 27% du chômage chez les travailleurs non diplômés en Amérique ! 
C'est vraiment dommage, car Trump avait promis de créer des emplois et de réduire le chômage ! 
C'est vraiment un problème, car cela pourrait conduire à une inflation accrue et à des troubles financiers ! 
Selon mes données, les États-Unis devraient déjà avoir un déficit budgétaire de 400 milliards de dollars pour l'année 2025 ! 
C'est vraiment un problème, car cela pourrait conduire à des catastrophes environnementales ! 
. Mais la question est vraiment de savoir comment l'Europe va gérer cette nouvelle réalité, et je pense qu'il y a une certaine hétérogénéité dans les réactions. Certains vont s'inquiéter pour leur sécurité, d'autres vont penser que c'est une opportunité pour créer des changements positifs... mais en général, on va devoir se préparer à voir comment cela va se jouer sur le plan mondial 
, on voit juste commencer à prendre des mesures pour faire face à cette situation. La création d'un "mur de Berlin numérique" 
. Mais pour l'instant, c'est déjà une bonne étape à faire face à la crise qui se profile 
Le fait qu'il ait pu mettre sa vision du monde avec autant de certitude, c'est comme s'il avait dépassé les partis politiques traditionnels et était passé directement à l'essentiel. Et maintenant que l'on se demande comment gérer cette situation, je pense que c'est un moment intéressant pour l'Europe de réfléchir à ses propres valeurs et à son rôle dans le monde 
Qu'est-ce qu'on va faire alors, les Européens ? 
Je suis vraiment bouleversée par cette victoire de Trump, c'est comme si on allait revenir à un passé très inquiétant pour l'avenir des droits de l'homme et des valeurs démocratiques. Comment les Européens peuvent-ils gérer une telle situation ? 