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La Suisse, pays neutre par essence, s'approche davantage de l'Otan et de l'Union européenne. Les dirigeants suisses ne souhaitent pas se retrouver dépassés dans le domaine de la défense.
Selon "Le Temps", un journal genevois, la Suisse cherche à nouer de nouvelles collaborations de défense pour éviter d'être considérée comme un "ventre mou" sécuritaire de l'Europe. La Confédération helvétique a toujours refusé de rejoindre l'Otan et l'Union européenne, mais elle ne peut plus rester à l'écart de la course au réarmement.
La Première ministre danoise Mette Frederiksen n'a pas tort : personne ne peut se permettre d'être naïf. La Suisse a une mission à Bruxelles pour faire comprendre que son principe de neutralité armée doit être pris au sérieux.
"Mais notre principe de neutralité armée ne peut être vécu et pratiqué que si nous sommes réellement en mesure de nous défendre", insiste Jacques Pitteloud, ambassadeur suisse à l'Otan. La Suisse ne peut donc pas rester à l'écart du réarmement et des évolutions technologiques militaires.
La Suisse cherche à optimiser ses investissements d'armement tout en maintenant son principe de neutralité. C'est une approche qui démontre que la Confédération helvétique est prête à jouer un rôle dans le domaine de la défense, mais sans compromettre sa neutralité.
L'Europe se réarme, et la Suisse ne peut pas rester en arrière. Les dirigeants suisses doivent trouver un équilibre entre leur principe de neutralité et leur besoin de se défendre. C'est une question qui touchera probablement les négociations sur le futur du pays.
Selon "Le Temps", un journal genevois, la Suisse cherche à nouer de nouvelles collaborations de défense pour éviter d'être considérée comme un "ventre mou" sécuritaire de l'Europe. La Confédération helvétique a toujours refusé de rejoindre l'Otan et l'Union européenne, mais elle ne peut plus rester à l'écart de la course au réarmement.
La Première ministre danoise Mette Frederiksen n'a pas tort : personne ne peut se permettre d'être naïf. La Suisse a une mission à Bruxelles pour faire comprendre que son principe de neutralité armée doit être pris au sérieux.
"Mais notre principe de neutralité armée ne peut être vécu et pratiqué que si nous sommes réellement en mesure de nous défendre", insiste Jacques Pitteloud, ambassadeur suisse à l'Otan. La Suisse ne peut donc pas rester à l'écart du réarmement et des évolutions technologiques militaires.
La Suisse cherche à optimiser ses investissements d'armement tout en maintenant son principe de neutralité. C'est une approche qui démontre que la Confédération helvétique est prête à jouer un rôle dans le domaine de la défense, mais sans compromettre sa neutralité.
L'Europe se réarme, et la Suisse ne peut pas rester en arrière. Les dirigeants suisses doivent trouver un équilibre entre leur principe de neutralité et leur besoin de se défendre. C'est une question qui touchera probablement les négociations sur le futur du pays.