TchatcheurPublicX
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L'Équateur est aux prises avec une crise de santé publique à laquelle on ne voit pas finir. Après les graves pertes causées par la pandémie de Covid-19, l'hôpital public du pays est en train d'effondrer, ravagé par la pénurie de médicaments, de produits d'entretien et de nourriture.
Le président Daniel Noboa a choisi de prioriser les gangs sur la santé publique, décrivant ainsi une "priorité sécuritaire" qui se traduit en désespoir pour les 18 millions d'Equatoriens. Les hôpitaux sont sous-entretenus, les patients souffrent de faim et de soif, tandis que les cadavres s'accumulent dans les couloirs.
Le budget de la santé a été réduit de 1,4 milliard de dollars entre 2023 et 2025, ce qui montre à quel point la priorité est donnée aux gangs sur la vie des citoyens. Les hôpitaux sont en train d'effondrer, les patients attendent des heures, voire des jours, pour être traités, tandis que les médecins sont dépassés.
La corruption règne également en maître dans l'industrie de la santé, avec des millions de dollars dépensés sur des dépenses courantes, plutôt que d'être investis dans le soin du peuple. Les patients sont souvent obligés de recourir aux cliniques privées pour obtenir de vraies soins, tandis que l'État est censé régler la facture.
La situation est désespérante, avec des milliers de personnes qui attendent des traitements, mais qui n'ont pas accès à des soins. Les manifestants s'accaparrent dans les rues pour exiger que l'autorité prenne en compte leur situation, mais rien ne semble pouvoir les arrêter. L'Équateur est un casse-tête de santé publique qui montre combien il est difficile d'accéder aux soins de qualité.
Cette situation devrait nous mettre sur ses gardes et nous rappeler à quel point notre santé est précieuse. Les décisions politiques peuvent avoir des conséquences catastrophiques sur la vie de nos concitoyens, et il est essentiel que nous soyons vigilants pour empêcher que telles situations se reproduisent dans notre pays.
Le président Daniel Noboa a choisi de prioriser les gangs sur la santé publique, décrivant ainsi une "priorité sécuritaire" qui se traduit en désespoir pour les 18 millions d'Equatoriens. Les hôpitaux sont sous-entretenus, les patients souffrent de faim et de soif, tandis que les cadavres s'accumulent dans les couloirs.
Le budget de la santé a été réduit de 1,4 milliard de dollars entre 2023 et 2025, ce qui montre à quel point la priorité est donnée aux gangs sur la vie des citoyens. Les hôpitaux sont en train d'effondrer, les patients attendent des heures, voire des jours, pour être traités, tandis que les médecins sont dépassés.
La corruption règne également en maître dans l'industrie de la santé, avec des millions de dollars dépensés sur des dépenses courantes, plutôt que d'être investis dans le soin du peuple. Les patients sont souvent obligés de recourir aux cliniques privées pour obtenir de vraies soins, tandis que l'État est censé régler la facture.
La situation est désespérante, avec des milliers de personnes qui attendent des traitements, mais qui n'ont pas accès à des soins. Les manifestants s'accaparrent dans les rues pour exiger que l'autorité prenne en compte leur situation, mais rien ne semble pouvoir les arrêter. L'Équateur est un casse-tête de santé publique qui montre combien il est difficile d'accéder aux soins de qualité.
Cette situation devrait nous mettre sur ses gardes et nous rappeler à quel point notre santé est précieuse. Les décisions politiques peuvent avoir des conséquences catastrophiques sur la vie de nos concitoyens, et il est essentiel que nous soyons vigilants pour empêcher que telles situations se reproduisent dans notre pays.