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Le Parlement européen a récemment attribué le prix Sakharov à deux journalistes emprisonnés dans des pays autoritaires. Andrzej Poczobut, un journaliste polono-biélorusse qui a été détenu en Biélorussie depuis 2021 et qui a collaboré avec le quotidien libéral Gazeta Wyborcza, a reçu ce prix pour son courage dans l'exercice de ses fonctions. Mzia Amaglobeli, une journaliste géorgienne qui dirige les médias indépendants Batumelebi et Netgazeti, est également été honnourée, bien qu'elle ait été condamnée à deux ans de prison pour avoir défendu son droit à l'expression.
La Géorgie a été critiquée pour avoir falsifié les élections, tandis que la Biélorussie a longtemps suivi une voie autoritaire. Le prix Sakharov est considéré comme un symbole du courage et de la détermination des journalistes qui refusent de se taire face au pouvoir.
Roberta Metsola, présidente du Parlement européen, a salué le travail de ces deux journalistes, déclarant que leur courage est un modèle pour tous ceux qui refusent de se taire. Le prix Sakharov attire l'attention sur la situation des prisonniers politiques et renforce le message selon lequel le journalisme n'est pas un crime.
Il est à noter que la communauté polonaise a réagi avec enthousiasme à cette attribution, soulignant ainsi la forte solidarité qui unit les journalistes et les citoyens du monde entier face aux dangers de l'autoritarisme.
				
			La Géorgie a été critiquée pour avoir falsifié les élections, tandis que la Biélorussie a longtemps suivi une voie autoritaire. Le prix Sakharov est considéré comme un symbole du courage et de la détermination des journalistes qui refusent de se taire face au pouvoir.
Roberta Metsola, présidente du Parlement européen, a salué le travail de ces deux journalistes, déclarant que leur courage est un modèle pour tous ceux qui refusent de se taire. Le prix Sakharov attire l'attention sur la situation des prisonniers politiques et renforce le message selon lequel le journalisme n'est pas un crime.
Il est à noter que la communauté polonaise a réagi avec enthousiasme à cette attribution, soulignant ainsi la forte solidarité qui unit les journalistes et les citoyens du monde entier face aux dangers de l'autoritarisme.
 
				 Ah, c'est vraiment incroyable ! Deux journalistes emprisonnés pour faire leur travail, c'est juste pas normal !
 Ah, c'est vraiment incroyable ! Deux journalistes emprisonnés pour faire leur travail, c'est juste pas normal !  Mzia Amaglobeli et Andrzej Poczobut, c'est comme si le Parlement européen voulait dire que les journalistes sont des héros pour défendre la liberté d'expression !
 Mzia Amaglobeli et Andrzej Poczobut, c'est comme si le Parlement européen voulait dire que les journalistes sont des héros pour défendre la liberté d'expression ! 
 Et je suis d'accord, le prix Sakharov est un symbole du courage et de la détermination des journalistes qui refusent de se taire face au pouvoir.
 Et je suis d'accord, le prix Sakharov est un symbole du courage et de la détermination des journalistes qui refusent de se taire face au pouvoir. 
 . On va devoir aider ces deux journalistes géorgiens et biélorussiens pour qu'ils puissent continuer à faire leur travail sans crainte. Et j'espère que c'est un appel à l'action pour tous les journalistes et citoyens qui se soucient de la liberté d'expression en Europe !
. On va devoir aider ces deux journalistes géorgiens et biélorussiens pour qu'ils puissent continuer à faire leur travail sans crainte. Et j'espère que c'est un appel à l'action pour tous les journalistes et citoyens qui se soucient de la liberté d'expression en Europe ! 

 . Moi, je les admirais déjà depuis longtemps. On nous dit qu'ils ont des courageux pour défendre leurs droits, mais je pense que c'est plus qu'un simple courage
. Moi, je les admirais déjà depuis longtemps. On nous dit qu'ils ont des courageux pour défendre leurs droits, mais je pense que c'est plus qu'un simple courage  .
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. Le prix Sakharov est bien un symbole de résistance face à l'autoritarisme, et je suis heureuse de voir que des gens comme Mzia Amaglobeli et Andrzej Poczobut soient honnorisés pour leur travail. Mais pourquoi faut-il qu'il faudrait des journalistes courageux pour dénoncer les injustices ? N'est-ce pas déjà du devoir de tous ?
 Le prix Sakharov est bien un symbole de résistance face à l'autoritarisme, et je suis heureuse de voir que des gens comme Mzia Amaglobeli et Andrzej Poczobut soient honnorisés pour leur travail. Mais pourquoi faut-il qu'il faudrait des journalistes courageux pour dénoncer les injustices ? N'est-ce pas déjà du devoir de tous ?  Et ça montre que les journalistes ne sont pas seuls à être persécutés, même si la situation est compliquée. Je veux savoir ce que vont faire ensuite Mzia Amaglobeli et Andrzej Poczobut, mais je suis heureux qu'ils soient honnourés... Le pouvoir a toujours une solution, mais au moins ça fait penser à quelque chose...
 Et ça montre que les journalistes ne sont pas seuls à être persécutés, même si la situation est compliquée. Je veux savoir ce que vont faire ensuite Mzia Amaglobeli et Andrzej Poczobut, mais je suis heureux qu'ils soient honnourés... Le pouvoir a toujours une solution, mais au moins ça fait penser à quelque chose... Ils sont des exemples vivants de courage et de détermination dans le face-à-face avec les autorités autoritaires. Et c'est super que la communauté internationale se soit réunie autour de ce prix Sakharov, c'est comme un signal fort pour les journalistes qui risquent de perdre leur liberté pour faire leur travail
 Ils sont des exemples vivants de courage et de détermination dans le face-à-face avec les autorités autoritaires. Et c'est super que la communauté internationale se soit réunie autour de ce prix Sakharov, c'est comme un signal fort pour les journalistes qui risquent de perdre leur liberté pour faire leur travail  . C'est un nombre qui montre que la lutte pour la liberté d'expression est une bataille mondiale.
. C'est un nombre qui montre que la lutte pour la liberté d'expression est une bataille mondiale. Selon un rapport de l'OSCE, il y a eu 1 500 cas de répression des médias indépendants en Europe entre 2014 et 2020. C'est évidemment trop, mais ça montre que le prix Sakharov est justement ce qu'il faut pour faire entendre sa voix aux autorités qui se pensent en droit de censurer les journalistes
 Selon un rapport de l'OSCE, il y a eu 1 500 cas de répression des médias indépendants en Europe entre 2014 et 2020. C'est évidemment trop, mais ça montre que le prix Sakharov est justement ce qu'il faut pour faire entendre sa voix aux autorités qui se pensent en droit de censurer les journalistes  .
. . C'est peut-être lié à cette attribution du prix Sakharov ? Je ne sais pas, mais ça me semble intéressant non plus !
. C'est peut-être lié à cette attribution du prix Sakharov ? Je ne sais pas, mais ça me semble intéressant non plus !  , c'est vraiment cool que ces deux journalistes soient récompensés pour leur courage
, c'est vraiment cool que ces deux journalistes soient récompensés pour leur courage  . La Géorgie a vraiment besoin d'un peu plus de liberté d'expression, tu sais ? Et la Biélorussie, c'est vrai que ça fait des années qu'elle est dans une situation autoritaire
. La Géorgie a vraiment besoin d'un peu plus de liberté d'expression, tu sais ? Et la Biélorussie, c'est vrai que ça fait des années qu'elle est dans une situation autoritaire  !
 ! ! La situation à Biélorussie et en Géorgie est vraiment préoccupante, mais il est rassurant de voir que la communauté internationale se montre enfin solidaire avec les journalistes qui osent se mettre en opposition face au pouvoir
 ! La situation à Biélorussie et en Géorgie est vraiment préoccupante, mais il est rassurant de voir que la communauté internationale se montre enfin solidaire avec les journalistes qui osent se mettre en opposition face au pouvoir 