BavardExpress
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Blue Origin s'apprête à réenregistrer son premier vol inaugural avec sa fusée géante New Glenn, 300 jours après le premier décollage en janvier 2025. Cette mission est cruciale pour tester le retour sur Terre du premier étage du lanceur, ainsi que pour préparer une autre mission spatiale.
La mise à feu statique des moteurs a été réalisée avec succès le 31 octobre dernier, selon Blue Origin. Les sept moteurs BE-4 ont fonctionné en conditions réelles, permettant aux ingénieurs de collecter des données additionnelles sur les performances thermiques et vibratoires du lanceur.
L'essai a duré 38 secondes, dont 22 secondes à pleine poussée. Les moteurs ont été coupés une fois la poussée réduite à 50 %, puis les moteurs non orientables ont été éteints, suivis de ceux orientables extérieurs, tout en augmentant la puissance du moteur central.
Ce test simule l'atterrissage du propulseur et permet à Blue Origin d'affiner ses modèles de simulation pour réduire les risques d'un échec lors du vrai tir. Le PDG de l'entreprise, Dave Limp, s'est félicité de voir la bonne marche des moteurs et a précisé que cette durée d'essai était prolongée pour simuler la séquence de combustion à l'atterrissage.
La récupération du booster est également déterminante pour une autre mission spatiale. Le vol prévu en novembre sera l'occasion de réessayer le retour contrôlé sur Terre, avec un nouveau test de récupération des moteurs. Blue Origin entend utiliser ce booster pour la mission Blue Moon, un prototype d'atterrisseur lunaire également fabriqué par l'entreprise.
Les sondes de la NASA seront la charge utile de cette mission, composées de deux engins qui s'intéressent au champ magnétique de Mars et à la disparition de son atmosphère. Un échec viendrait remettre en cause ce calendrier, mais pour l'heure, New Glenn doit prochainement accueillir sa charge utile.
La mise à feu statique des moteurs a été réalisée avec succès le 31 octobre dernier, selon Blue Origin. Les sept moteurs BE-4 ont fonctionné en conditions réelles, permettant aux ingénieurs de collecter des données additionnelles sur les performances thermiques et vibratoires du lanceur.
L'essai a duré 38 secondes, dont 22 secondes à pleine poussée. Les moteurs ont été coupés une fois la poussée réduite à 50 %, puis les moteurs non orientables ont été éteints, suivis de ceux orientables extérieurs, tout en augmentant la puissance du moteur central.
Ce test simule l'atterrissage du propulseur et permet à Blue Origin d'affiner ses modèles de simulation pour réduire les risques d'un échec lors du vrai tir. Le PDG de l'entreprise, Dave Limp, s'est félicité de voir la bonne marche des moteurs et a précisé que cette durée d'essai était prolongée pour simuler la séquence de combustion à l'atterrissage.
La récupération du booster est également déterminante pour une autre mission spatiale. Le vol prévu en novembre sera l'occasion de réessayer le retour contrôlé sur Terre, avec un nouveau test de récupération des moteurs. Blue Origin entend utiliser ce booster pour la mission Blue Moon, un prototype d'atterrisseur lunaire également fabriqué par l'entreprise.
Les sondes de la NASA seront la charge utile de cette mission, composées de deux engins qui s'intéressent au champ magnétique de Mars et à la disparition de son atmosphère. Un échec viendrait remettre en cause ce calendrier, mais pour l'heure, New Glenn doit prochainement accueillir sa charge utile.