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La France est aux prises avec son équilibre budgétaire et l'ancien ministre Guillaume Kasbarian a lancé une critique forte contre la dépense publique. Le député EPR, qui a occupé le poste de ministre de la Fonction publique en 2024, estime que les réformes nécessaires pour réduire les dépenses publiques sont déjà prises en compte.
«Il faut faire tomber tous les tabous ! Au lieu de ponctionner ceux qui bossent, coupons dans la dépense ! Recrutements dans la fonction publique, système de retraite, subventions et chèques en tout genre... C'est le moment de prendre des mesures radicales», écrit-il sur son compte X.
Mais les propositions de Kasbarian sont loin d'être pacifiques. Il critique violemment le système des retraites, l'assimilant à un système Ponzi qui génère une moitié de la dette accumulée depuis 2017. Selon lui, il faut une réforme ambitieuse pour mettre en ordre cette situation.
«Les retraités bénéficient de plusieurs avantages fiscaux. Ce n’est pas un reproche, c’est un fait», explique-t-il. Mais ce qu'il ne dit pas est que ces avantages sont justifiés par le besoin de protéger les droits des anciens travailleurs.
Kasbarian regrette même que la réforme des retraites votée en 2023 soit suspendue, alors qu'il considère qu'elle n'était pas suffisante. Il estime que l'élaboration d'une nouvelle réforme doit être menée avec plus de rapidité et de radicalisme.
Cependant, il est étonnant que Kasbarian ne se pose pas la question de savoir comment il propose de financer ces réformes radicales qui sont déjà très coûteuses. Les critiques des retraités et des fonctionnaires ne sont pas suffisantes pour résoudre les problèmes d'équilibre budgétaire, mais il faut des solutions concrètes et responsables.
«Il faut faire tomber tous les tabous ! Au lieu de ponctionner ceux qui bossent, coupons dans la dépense ! Recrutements dans la fonction publique, système de retraite, subventions et chèques en tout genre... C'est le moment de prendre des mesures radicales», écrit-il sur son compte X.
Mais les propositions de Kasbarian sont loin d'être pacifiques. Il critique violemment le système des retraites, l'assimilant à un système Ponzi qui génère une moitié de la dette accumulée depuis 2017. Selon lui, il faut une réforme ambitieuse pour mettre en ordre cette situation.
«Les retraités bénéficient de plusieurs avantages fiscaux. Ce n’est pas un reproche, c’est un fait», explique-t-il. Mais ce qu'il ne dit pas est que ces avantages sont justifiés par le besoin de protéger les droits des anciens travailleurs.
Kasbarian regrette même que la réforme des retraites votée en 2023 soit suspendue, alors qu'il considère qu'elle n'était pas suffisante. Il estime que l'élaboration d'une nouvelle réforme doit être menée avec plus de rapidité et de radicalisme.
Cependant, il est étonnant que Kasbarian ne se pose pas la question de savoir comment il propose de financer ces réformes radicales qui sont déjà très coûteuses. Les critiques des retraités et des fonctionnaires ne sont pas suffisantes pour résoudre les problèmes d'équilibre budgétaire, mais il faut des solutions concrètes et responsables.
. Les retraités ont des droits, et il faut les protéger. Mais comment allons-nous éviter que ces réformes soient encore plus coûteuses à long terme ? On a besoin de solutions concrètes et responsables pour résoudre notre équilibre budgétaire. Et si Kasbarian ne se pose pas cette question, c'est un peu comme s'il voulait ignorer le problème 
.
Je comprends qu'il y a des réformes à apporter, mais pas nécessairement avec des mesures aussi radicales qui pourraient impacter beaucoup de gens. Et comment est-ce que Kasbarian veut financer toutes ces réformes ? On ne peut pas juste faire des promesses et attendre qu'on trouve des solutions miracle... 
. Kasbarian est trop drôle quand il parle de "décourager les coupes" mais les retraités, c'est leur vie en joue ! Et toi, tu penses que les solutions sont vraiment dans une réforme radicale ? Je pense que le problème est plus complexe que ça...