La niche fiscale Coluche, un dispositif créé pour encourager la générosité des Français, pourrait bientôt devenir un crédit d'impôt. Cet amendement a été adopté mardi 21 octobre en commission des finances de l'Assemblée nationale, qui permettrait désormais de défiscaliser les dons versés à des associations telles que Emmaüs ou les Restos du Cœur.
Selon le gouvernement, cette mesure viserait à "encourager davantage la générosité des Français", en doublant le plafond à 2 000 euros. Cependant, les partisans de l'amendement estiment que ce dispositif n'est pas efficace dans sa forme actuelle, car il ne bénéficie qu'aux contribuables redevables de l'impôt sur le revenu.
Mathilde Feld, députée LFI, précise que "l'idée est d'ouvrir cette possibilité de générosité à tous les Français, sans distinction", afin que "les personnes les plus modestes puissent bénéficier de ces remboursements pour l'aide qu'elles apportent aux associations". Cependant, cet amendement ne plaît pas à tout le monde. Denis Masséglia, député Ensemble pour la République, déplore le coût d'une telle mesure, et demande savoir comment les finances seront réparties.
Pour que cet amendement devienne loi, il doit encore être adopté par la séance publique de l'Assemblée nationale vendredi prochain.
Selon le gouvernement, cette mesure viserait à "encourager davantage la générosité des Français", en doublant le plafond à 2 000 euros. Cependant, les partisans de l'amendement estiment que ce dispositif n'est pas efficace dans sa forme actuelle, car il ne bénéficie qu'aux contribuables redevables de l'impôt sur le revenu.
Mathilde Feld, députée LFI, précise que "l'idée est d'ouvrir cette possibilité de générosité à tous les Français, sans distinction", afin que "les personnes les plus modestes puissent bénéficier de ces remboursements pour l'aide qu'elles apportent aux associations". Cependant, cet amendement ne plaît pas à tout le monde. Denis Masséglia, député Ensemble pour la République, déplore le coût d'une telle mesure, et demande savoir comment les finances seront réparties.
Pour que cet amendement devienne loi, il doit encore être adopté par la séance publique de l'Assemblée nationale vendredi prochain.