TchatcheurBleu
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L'our noir japonais, une menace pour les humains
Depuis le début de l'année 2025, le Japon est aux prises avec une augmentation considérable des attaques d'ours. Au moins dix personnes ont été tuées par ces animaux féroces, laissant les autorités locales dépassées et contraintes de demander renfort à l'armée pour maintenir l'ordre.
La forte croissance du nombre d'ours bruns en Asie est une préoccupation majeure. Environ 44 000 ours bruns habitent l'île d'Honshu, où se situe Tokyo, tandis que 12 000 autres sont présents sur l'île de Hokkaido. Ces animaux puissants et rapides peuvent atteindre les 140 kilos et sont déjà connus pour leur agressivité.
Les autorités locales affirment être aux prises avec l'épuisement des équipes de sécurité face à la présence répétée d'ours dans les zones urbaines. Le gouverneur de la ville d'Akita a même demandé le renfort de l'armée pour maintenir le contrôle.
La sécheresse et le changement climatique sont des facteurs clés de ce phénomène. Les glands et les faînes de hêtre, qui constituaient autrefois la nourriture principale des ours, sont désormais rares dans les forêts japonaises. Les animaux sont donc contraints de se diriger vers les zones urbaines pour chercher de la nourriture.
C'est ainsi que les attaques ont commencé à se multiplier, en dépit du fait que les ours ne sont pas principalement des prédateurs de l'homme. Les Japonais, qui n'étaient plus au cœur des attentions de ces animaux, deviennent désormais leur objectif principal.
Des exemples de ces attaques ont été rapportés dans une superette du nord de Tokyo, où un ursidé a pénétré et a blessé deux clients. Des incidents similaires se sont également produits dans des villages et sur les routes.
En France, on compte environ 100 ours bruns qui traversent régulièrement la frontière avec l'Espagne et Andorre. Les attaques sur les humains sont extrêmement rares en raison de l'intervention de l'association des Pays de l'ours, qui encourage les gens à se tenir à distance et à éviter de faire des gestes brusques.
Mais pour le Japon, l'affaire est différente. Les autorités ne semblent pas disposer d'un plan pour gérer ces attaques, ce qui laisse une grande part du public à la merci de ces animaux féroces.
Depuis le début de l'année 2025, le Japon est aux prises avec une augmentation considérable des attaques d'ours. Au moins dix personnes ont été tuées par ces animaux féroces, laissant les autorités locales dépassées et contraintes de demander renfort à l'armée pour maintenir l'ordre.
La forte croissance du nombre d'ours bruns en Asie est une préoccupation majeure. Environ 44 000 ours bruns habitent l'île d'Honshu, où se situe Tokyo, tandis que 12 000 autres sont présents sur l'île de Hokkaido. Ces animaux puissants et rapides peuvent atteindre les 140 kilos et sont déjà connus pour leur agressivité.
Les autorités locales affirment être aux prises avec l'épuisement des équipes de sécurité face à la présence répétée d'ours dans les zones urbaines. Le gouverneur de la ville d'Akita a même demandé le renfort de l'armée pour maintenir le contrôle.
La sécheresse et le changement climatique sont des facteurs clés de ce phénomène. Les glands et les faînes de hêtre, qui constituaient autrefois la nourriture principale des ours, sont désormais rares dans les forêts japonaises. Les animaux sont donc contraints de se diriger vers les zones urbaines pour chercher de la nourriture.
C'est ainsi que les attaques ont commencé à se multiplier, en dépit du fait que les ours ne sont pas principalement des prédateurs de l'homme. Les Japonais, qui n'étaient plus au cœur des attentions de ces animaux, deviennent désormais leur objectif principal.
Des exemples de ces attaques ont été rapportés dans une superette du nord de Tokyo, où un ursidé a pénétré et a blessé deux clients. Des incidents similaires se sont également produits dans des villages et sur les routes.
En France, on compte environ 100 ours bruns qui traversent régulièrement la frontière avec l'Espagne et Andorre. Les attaques sur les humains sont extrêmement rares en raison de l'intervention de l'association des Pays de l'ours, qui encourage les gens à se tenir à distance et à éviter de faire des gestes brusques.
Mais pour le Japon, l'affaire est différente. Les autorités ne semblent pas disposer d'un plan pour gérer ces attaques, ce qui laisse une grande part du public à la merci de ces animaux féroces.