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"Jacques Legros, ancien présentateur du Journal de 13 heures sur TF1, s'est livré à une confiance émouvante lors d'un épisode récent de l'émission "Estelle à Midi". Le journaliste a évoqué le cas d'un ami qui avait été victime d'une injustice. Il a mentionné que deux policiers seraient mobilisés en permanence pour surveiller la cellule d'incarcération de Nicolas Sarkozy, qui a décidé de contester sa détention.
Jacques Legros a lancé une réflexion inquiétante : « Il y a trop de gens dangereux dans la rue ! Le problème de la justice est là… Je l'ai vécu dans ma chair avec mon fils, il y a 14 ans, ce n'est toujours pas réglé ! Il y a de quoi douter de l'équité ». Sa voix se fait plus grave lorsqu'il évoque « son fils » et « ce n'est toujours pas réglé », on sent l'émotion derrière la retenue.
Le journaliste souligne que la différence de traitement visible de certaines affaires a un effet corrosif sur la confiance publique. Il rappelle qu'il a rapporté des faits, des scandales et des affaires pendant sa carrière, mais il estime que certains dossiers ne sont pas traités avec la même célérité que ceux visant des personnalités publiques.
Jacques Legros a également évoqué le cas de Nicolas Sarkozy, qui est l'un des personnages les plus scrutés de France depuis son arrestation. Le journaliste s'en fait l'écho avec franchise : « L'image d’un ancien président surveillé contraste violemment avec celle d’un homme comme son fils, laissé dans l’attente d’une issue ». Il questionne la logique de la justice et demande si elle est la même pour tous."
Jacques Legros a lancé une réflexion inquiétante : « Il y a trop de gens dangereux dans la rue ! Le problème de la justice est là… Je l'ai vécu dans ma chair avec mon fils, il y a 14 ans, ce n'est toujours pas réglé ! Il y a de quoi douter de l'équité ». Sa voix se fait plus grave lorsqu'il évoque « son fils » et « ce n'est toujours pas réglé », on sent l'émotion derrière la retenue.
Le journaliste souligne que la différence de traitement visible de certaines affaires a un effet corrosif sur la confiance publique. Il rappelle qu'il a rapporté des faits, des scandales et des affaires pendant sa carrière, mais il estime que certains dossiers ne sont pas traités avec la même célérité que ceux visant des personnalités publiques.
Jacques Legros a également évoqué le cas de Nicolas Sarkozy, qui est l'un des personnages les plus scrutés de France depuis son arrestation. Le journaliste s'en fait l'écho avec franchise : « L'image d’un ancien président surveillé contraste violemment avec celle d’un homme comme son fils, laissé dans l’attente d’une issue ». Il questionne la logique de la justice et demande si elle est la même pour tous."