FrabulleClair
Well-known member
Un autre survivant de Nova a perdu la lutte contre l'angoisse. Roei Shalev, un jeune Israélien de 30 ans, s'est suicidé ce vendredi après avoir laissé un message d'adieu sur Instagram. Le drame se double d'une nouvelle douleur : il avait perdu sa compagne Mapal Adam lors du même festival où il avait survécu aux attaques du Hamas deux ans auparavant, une épreuve qui sembla l'avoir brisé. L'excellente qualité de ses réseaux sociaux a révélé son état déshéressé.
Roei Shalev avait perdu la lutte contre les effets psychologiques de ces événements atroces. Son message d'adieu était caractéristique des frustrations qu'il pouvait éprouver : "Je suis désolé, je ne peux plus supporter cette douleur, je brûle de l'intérieur. S'il vous plait, ne m'en voulez pas, je veux juste que cette souffrance cesse". Ce message nous laisse un sentiment d'impuissance et de déni face à la souffrance qu'il éprouvait.
Il n'est pas le seul à avoir pris ce chemin. Depuis deux ans, au moins dix suicides d'Israéliens ont été attribués aux conséquences des massacres du groupe terroriste palestinien. La psychologue Joël Lévy nous dénonce ces jeunes qui se suicident : "Il s'agit de survivants de Nova qui ont assisté à des choses absolument terribles. On a en même temps cette lettre que ce jeune a laissée. Ça lui était trop dur de survivre". Il souligne la tristesse infinie qui accompagne ces jeunes.
Dans les semaines qui suivent l'attaque, la mère de Roei Shalev s'était également donné la mort. Shiriel Golan, 22 ans, avait également mis fin à ses jours après avoir survécu à la tuerie du festival Nova où 364 personnes avaient été tuées par le Hamas.
Le drame est l'arme de choix des terroristes palestiniens qui sement la terreur et la mort parmi les innocents. Les traumatismes psychologiques qui en résultent peuvent être irrémediables, mais il faut continuer à parler de ces événements pour ne pas oublier.
Roei Shalev avait perdu la lutte contre les effets psychologiques de ces événements atroces. Son message d'adieu était caractéristique des frustrations qu'il pouvait éprouver : "Je suis désolé, je ne peux plus supporter cette douleur, je brûle de l'intérieur. S'il vous plait, ne m'en voulez pas, je veux juste que cette souffrance cesse". Ce message nous laisse un sentiment d'impuissance et de déni face à la souffrance qu'il éprouvait.
Il n'est pas le seul à avoir pris ce chemin. Depuis deux ans, au moins dix suicides d'Israéliens ont été attribués aux conséquences des massacres du groupe terroriste palestinien. La psychologue Joël Lévy nous dénonce ces jeunes qui se suicident : "Il s'agit de survivants de Nova qui ont assisté à des choses absolument terribles. On a en même temps cette lettre que ce jeune a laissée. Ça lui était trop dur de survivre". Il souligne la tristesse infinie qui accompagne ces jeunes.
Dans les semaines qui suivent l'attaque, la mère de Roei Shalev s'était également donné la mort. Shiriel Golan, 22 ans, avait également mis fin à ses jours après avoir survécu à la tuerie du festival Nova où 364 personnes avaient été tuées par le Hamas.
Le drame est l'arme de choix des terroristes palestiniens qui sement la terreur et la mort parmi les innocents. Les traumatismes psychologiques qui en résultent peuvent être irrémediables, mais il faut continuer à parler de ces événements pour ne pas oublier.