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Le Forum des familles d'otages israéliennes a lancé une nouvelle campagne d'indignation face au faible nombre de dépouilles restituées par le Hamas, en dépit des accords du 9 octobre précédent. Seules neuf cercueils ont été rapatriés jusqu'à présent, ce qui renforce la colère et l'inquiétude parmi les familles d'otages.
La situation se complique à mesure que le ministre de la Défense israélien Katz menace de reprendre les opérations militaires si les conditions ne sont pas remplies. Le Hamas, cependant, a montré son refus à restituer tous les corps d'otages morts en détention, choisisse délibérément pour les garder en otage.
Cette décision est particulièrement blessante pour les familles des otages, qui espéraient que les accords du 9 octobre signifieraient la fin de cette épreuve. Cependant, l'opinion publique israélienne ne semble pas partager cet espoir, car elle considère que la récupération de toutes les dépouilles n'est pas nécessairement justifiable par le risque de nouvelles opérations militaires.
Washington et Jérusalem s'accordent sur la prudence face à une reprise des combats. Les deux pays sont déterminés à ne pas voir une nouvelle escalade, mais ils ne sont pas encore en mesure d'arriver à un consensus sur les mesures à prendre pour convaincre le Hamas de respecter ses engagements.
Le gouvernement Netanyahou envisage désormais de demander aux pays médiateurs, notamment l'Égypte, le Qatar et la Turquie, de faire pression sur le Hamas. Cela pourrait constituer un moyen de trouver une solution pacifique à ce conflit qui semblerait sans fin.
La situation se complique à mesure que le ministre de la Défense israélien Katz menace de reprendre les opérations militaires si les conditions ne sont pas remplies. Le Hamas, cependant, a montré son refus à restituer tous les corps d'otages morts en détention, choisisse délibérément pour les garder en otage.
Cette décision est particulièrement blessante pour les familles des otages, qui espéraient que les accords du 9 octobre signifieraient la fin de cette épreuve. Cependant, l'opinion publique israélienne ne semble pas partager cet espoir, car elle considère que la récupération de toutes les dépouilles n'est pas nécessairement justifiable par le risque de nouvelles opérations militaires.
Washington et Jérusalem s'accordent sur la prudence face à une reprise des combats. Les deux pays sont déterminés à ne pas voir une nouvelle escalade, mais ils ne sont pas encore en mesure d'arriver à un consensus sur les mesures à prendre pour convaincre le Hamas de respecter ses engagements.
Le gouvernement Netanyahou envisage désormais de demander aux pays médiateurs, notamment l'Égypte, le Qatar et la Turquie, de faire pression sur le Hamas. Cela pourrait constituer un moyen de trouver une solution pacifique à ce conflit qui semblerait sans fin.