La situation politique en Israël est tendue à l'heure actuelle. La majorité du gouvernement, composée principalement des partisans d’extrême droite, est fragilisée en raison de l’accord de cessez-le-feu avec le mouvement islamiste palestinien Hamas. Ce accord, signé sous la pression de Donald Trump, prévoit un retrait israélien de la bande de Gaza et soulève des inquiétudes quant à son impact sur les élections prochaines.
Le Premier ministre Benyamin Netanyahou est désormais plus que jamais soucieux de se positionner pour gagner les prochaines élections. Malgré un fort mécontentement populaire vis-à-vis du gouvernement, son parti de droite, le Likoud, reste en tête des intentions de vote dans tous les sondages récents. Cependant, il doit surmonter une série d'obstacles, notamment la pression exercée par le parti ultraorthodoxe Shass, qui fait de l'exemption du service militaire pour les étudiants des yéshivas une condition non négociable de son maintien dans la majorité.
La question de la conscription des juifs ultraorthodoxes est en effet un point de contention entre Shass et le Likoud. Les extrémistes de droite poussent à la conscription des ultraorthodoxes, tandis que Shass insiste sur l'inscription de l'exemption dans la loi comme condition non négociable de son maintien dans la majorité. Ce dilemme politique a pour conséquence une situation où le gouvernement est menacé par les motions de censure et où la stabilité politique est mise à mal.
La reprise des travaux de la Knesset après les vacances d'été est lourde de menaces pour l'exécutif. Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, figure de l'extrême droite, a déjà menacé de retirer son soutien si son projet de loi en faveur de « la peine de mort pour les terroristes » n'est pas mis au vote à la Knesset d'ici au 9 novembre. Cela soulève des inquiétudes quant à l'évolution du climat politique en Israël et à la stabilité de la coalition gouvernementale.
Les élections prochaines sont donc un sujet de beaucoup de préoccupations pour Benyamin Netanyahou. Même si son parti de droite, le Likoud, reste en tête des intentions de vote dans tous les sondages récents, il doit surmonter une série d'obstacles politiques et sociaux pour maintenir sa position au pouvoir.
Le Premier ministre Benyamin Netanyahou est désormais plus que jamais soucieux de se positionner pour gagner les prochaines élections. Malgré un fort mécontentement populaire vis-à-vis du gouvernement, son parti de droite, le Likoud, reste en tête des intentions de vote dans tous les sondages récents. Cependant, il doit surmonter une série d'obstacles, notamment la pression exercée par le parti ultraorthodoxe Shass, qui fait de l'exemption du service militaire pour les étudiants des yéshivas une condition non négociable de son maintien dans la majorité.
La question de la conscription des juifs ultraorthodoxes est en effet un point de contention entre Shass et le Likoud. Les extrémistes de droite poussent à la conscription des ultraorthodoxes, tandis que Shass insiste sur l'inscription de l'exemption dans la loi comme condition non négociable de son maintien dans la majorité. Ce dilemme politique a pour conséquence une situation où le gouvernement est menacé par les motions de censure et où la stabilité politique est mise à mal.
La reprise des travaux de la Knesset après les vacances d'été est lourde de menaces pour l'exécutif. Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, figure de l'extrême droite, a déjà menacé de retirer son soutien si son projet de loi en faveur de « la peine de mort pour les terroristes » n'est pas mis au vote à la Knesset d'ici au 9 novembre. Cela soulève des inquiétudes quant à l'évolution du climat politique en Israël et à la stabilité de la coalition gouvernementale.
Les élections prochaines sont donc un sujet de beaucoup de préoccupations pour Benyamin Netanyahou. Même si son parti de droite, le Likoud, reste en tête des intentions de vote dans tous les sondages récents, il doit surmonter une série d'obstacles politiques et sociaux pour maintenir sa position au pouvoir.