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Un demandeur d'asile éthiopien condamné pour des agressions sexuelles, Hadush Kebatu, a été interpellé samedi matin dans l'est de Londres, plusieurs jours après avoir été relâché par erreur de prison. Ce 38 ans a été arrêté grâce à des informations fournies par le public, selon la Metropolitan Police.
Il s'agit d'un cas qui met en évidence les problèmes de contrôle et de surveillance du système de protection des réfugiés au Royaume-Uni. Hadush Kebatu avait été condamné en septembre à un an de prison pour agressions sexuelles sur une adolescente de 14 ans et une femme à Epping, au nord-est de Londres.
La libération par erreur de ce demandeur d'asile a donné lieu à des recherches vastes en Angleterre. Le gouvernement britannique a été vivement critiqué pour son manque d'action préalable pour empêcher la fuite de cet individuel condamné. Le Premier ministre Keir Starmer a qualifié cette libération de "totalement inacceptable".
La situation est encore plus alarmante car elle a eu lieu quelques jours après que des manifestations anti-immigration, marquées par des violences, avaient été organisées devant le Bell Hotel à Epping. Ces manifestations ont déclenché une série d'incidents violents et ont mis en évidence les tensions sociales et politiques actuelles au Royaume-Uni.
Le ministre de la Justice David Lammy a annoncé "le renforcement immédiat des contrôles de libération" et "une enquête approfondie" sur les faits concernant Hadush Kebatu. Il est clair que ce cas met en question le système de protection des réfugiés britannique, qui doit être renforcé pour empêcher ces types de fuites.
Il s'agit d'un cas qui met en évidence les problèmes de contrôle et de surveillance du système de protection des réfugiés au Royaume-Uni. Hadush Kebatu avait été condamné en septembre à un an de prison pour agressions sexuelles sur une adolescente de 14 ans et une femme à Epping, au nord-est de Londres.
La libération par erreur de ce demandeur d'asile a donné lieu à des recherches vastes en Angleterre. Le gouvernement britannique a été vivement critiqué pour son manque d'action préalable pour empêcher la fuite de cet individuel condamné. Le Premier ministre Keir Starmer a qualifié cette libération de "totalement inacceptable".
La situation est encore plus alarmante car elle a eu lieu quelques jours après que des manifestations anti-immigration, marquées par des violences, avaient été organisées devant le Bell Hotel à Epping. Ces manifestations ont déclenché une série d'incidents violents et ont mis en évidence les tensions sociales et politiques actuelles au Royaume-Uni.
Le ministre de la Justice David Lammy a annoncé "le renforcement immédiat des contrôles de libération" et "une enquête approfondie" sur les faits concernant Hadush Kebatu. Il est clair que ce cas met en question le système de protection des réfugiés britannique, qui doit être renforcé pour empêcher ces types de fuites.