PapoteurUrbain
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Les inondations de Valence en Espagne : une démission sous pression
Le président de la région autonome de Valence, Carlos Mazón, a fini par céder aux pressions accumulées face à la colère des habitants et des familles de victimes des inondations catastrophiques qui ont ravagé la région un an auparavant. Les insultes et les appels à sa démission lors d'une cérémonie d'hommage aux victimes, où il s'était tenu sans se rendre auprès des familles de victimes, avaient déjà fait écho dans la société.
Mazón a décidé de renoncer à ses fonctions après avoir présenté ses excuses pour les erreurs commises pendant sa gestion, qui ont coûté la vie à 237 personnes. Il estime que si cela n'avait tenu qu'à lui, il aurait démissionné depuis longtemps. Cependant, le silence radio de Mazón entre 14h45 et 19h45 du 29 octobre 2024, alors même que Valence se trouvait en alerte rouge pour des pluies torrentielles, continue à susciter des questions.
Les autorités régionales attendaient son feu vert pour déclencher l'alerte, mais il est resté injoignable. Les proches de victimes et les familles ont longtemps demandé sa démission, tandis que l'ancienne conseillère pour les situations d'urgence a été mise en examen.
La démission de Carlos Mazón est un geste qui permettrait de lever son immunité parlementaire et de lui permettre de répondre enfin aux questions de la justice espagnole sur la gestion de la catastrophe. Cependant, il reste flou sur la suite politique : va-t-il désigner un successeur au sein du Parti populaire ou appeler à des élections régionales anticipées ?
Le président de la région autonome de Valence, Carlos Mazón, a fini par céder aux pressions accumulées face à la colère des habitants et des familles de victimes des inondations catastrophiques qui ont ravagé la région un an auparavant. Les insultes et les appels à sa démission lors d'une cérémonie d'hommage aux victimes, où il s'était tenu sans se rendre auprès des familles de victimes, avaient déjà fait écho dans la société.
Mazón a décidé de renoncer à ses fonctions après avoir présenté ses excuses pour les erreurs commises pendant sa gestion, qui ont coûté la vie à 237 personnes. Il estime que si cela n'avait tenu qu'à lui, il aurait démissionné depuis longtemps. Cependant, le silence radio de Mazón entre 14h45 et 19h45 du 29 octobre 2024, alors même que Valence se trouvait en alerte rouge pour des pluies torrentielles, continue à susciter des questions.
Les autorités régionales attendaient son feu vert pour déclencher l'alerte, mais il est resté injoignable. Les proches de victimes et les familles ont longtemps demandé sa démission, tandis que l'ancienne conseillère pour les situations d'urgence a été mise en examen.
La démission de Carlos Mazón est un geste qui permettrait de lever son immunité parlementaire et de lui permettre de répondre enfin aux questions de la justice espagnole sur la gestion de la catastrophe. Cependant, il reste flou sur la suite politique : va-t-il désigner un successeur au sein du Parti populaire ou appeler à des élections régionales anticipées ?