Henri Salvador, un nom qui évoque des chansons amusantes et des souvenirs de la jeunesse. Mais derrière ce visage enjoué et cette voix douce, se cachait une histoire compliquée, marquée par l'amour, les relationships et les déceptions.
Un grand-père odieux ?
Avec son père biologique, Henri Salvador avait créé une relation complexe. Jean-Marie Périer, le fils qu'il n'avait pas voulu reconnaître, allait devenir un photographe talentueux, mais également un homme blessé par la vie de son père.
"Un jour, sur le tard, il a voulu rencontrer mes gosses et il s'est mal conduit avec eux", explique Jean-Marie Périer. "Il leur a fait des promesses puis adieu, plus de nouvelles". Un comportement qui l'a ravagé, selon lui.
Protecteur de ses enfants, Jean-Marie Périer avait lancé une campagne pour mettre en avant les bons côtés d'Henri Salvador, mais sans évoquer les déceptions de son père. "Mes enfants voient bien que cela a un peu bousillé leur père, mais ce n'est pas leur histoire. C'est moi qui ai pris ça dans la tronche, pas eux..."
Et pourtant, Henri Salvador avait été un artiste talentueux, capable de créer des chansons telles que "Une chanson douce", "Zorro est arrivé" ou "Juanita Banana". Mais son comportement avec Jean-Marie Périer l'avait profondément marqué.
Un homme qui a perdu le goût de la musique ?
Après cette expérience, Jean-Marie Périer avait décidé de ne plus parler de sa vie. "Je n'en parle plus", avait-il déclaré à Jordan De Luxe. Mais il avait également réalisé que sans Henri Salvador, il aurait peut-être été musicien lui-même.
"Si je ne pouvais plus en parler de ma vie, je le ferais ! Maintenant ça va... Si j'avais pas rencontré cet homme, j'aurais été musicien moi", avait-il expliqué au Parisien. "À cause de lui, je suis devenu un musicien raté".
Et pourtant, Henri Salvador avait été un artiste extraordinaire, capable de créer des chansons telles que "Jardin d'hiver" avec Keren Ann et Benjamin Biolay. Un succès qui l'avait aidé à renouer avec le succès.
Mais derrière ce visage enjoué, se cachait une histoire complexe, marquée par les déceptions de la vie. Une histoire qui aurait pu être différente si Henri Salvador avait choisi un autre chemin.
Le plus important ?
Pour Jean-Marie Périer, c'était François, le père biologique qu'il ne lui avait jamais reconnu. "C’était un homme prodigieux", avait-il déclaré. "Il ne m’a pas vraiment éduqué, car il était sans cesse au théâtre ou en tournage, mais il m’a donné un exemple et des souvenirs extraordinaires."
Et ce sont ces souvenirs qui restaient pour lui le plus important.
Un grand-père odieux ?
Avec son père biologique, Henri Salvador avait créé une relation complexe. Jean-Marie Périer, le fils qu'il n'avait pas voulu reconnaître, allait devenir un photographe talentueux, mais également un homme blessé par la vie de son père.
"Un jour, sur le tard, il a voulu rencontrer mes gosses et il s'est mal conduit avec eux", explique Jean-Marie Périer. "Il leur a fait des promesses puis adieu, plus de nouvelles". Un comportement qui l'a ravagé, selon lui.
Protecteur de ses enfants, Jean-Marie Périer avait lancé une campagne pour mettre en avant les bons côtés d'Henri Salvador, mais sans évoquer les déceptions de son père. "Mes enfants voient bien que cela a un peu bousillé leur père, mais ce n'est pas leur histoire. C'est moi qui ai pris ça dans la tronche, pas eux..."
Et pourtant, Henri Salvador avait été un artiste talentueux, capable de créer des chansons telles que "Une chanson douce", "Zorro est arrivé" ou "Juanita Banana". Mais son comportement avec Jean-Marie Périer l'avait profondément marqué.
Un homme qui a perdu le goût de la musique ?
Après cette expérience, Jean-Marie Périer avait décidé de ne plus parler de sa vie. "Je n'en parle plus", avait-il déclaré à Jordan De Luxe. Mais il avait également réalisé que sans Henri Salvador, il aurait peut-être été musicien lui-même.
"Si je ne pouvais plus en parler de ma vie, je le ferais ! Maintenant ça va... Si j'avais pas rencontré cet homme, j'aurais été musicien moi", avait-il expliqué au Parisien. "À cause de lui, je suis devenu un musicien raté".
Et pourtant, Henri Salvador avait été un artiste extraordinaire, capable de créer des chansons telles que "Jardin d'hiver" avec Keren Ann et Benjamin Biolay. Un succès qui l'avait aidé à renouer avec le succès.
Mais derrière ce visage enjoué, se cachait une histoire complexe, marquée par les déceptions de la vie. Une histoire qui aurait pu être différente si Henri Salvador avait choisi un autre chemin.
Le plus important ?
Pour Jean-Marie Périer, c'était François, le père biologique qu'il ne lui avait jamais reconnu. "C’était un homme prodigieux", avait-il déclaré. "Il ne m’a pas vraiment éduqué, car il était sans cesse au théâtre ou en tournage, mais il m’a donné un exemple et des souvenirs extraordinaires."
Et ce sont ces souvenirs qui restaient pour lui le plus important.