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Guinée: les éleveurs contre les agriculteurs, une nouvelle escalade des conflits dans la région forestière.
Les habitants de Lola, une commune située dans la région guinéenne forestière, se sont réunis torses nus jeudi dernier pour protester contre l'arrivée de bouviers en leur territoire. Cette nouvelle vague de violence est le symptôme d'une tension croissante entre les éleveurs et les agriculteurs dans la région.
Selon Mamadi Bamba, chargé des conflits à la fédération régionale Bétail-Viande de N'zérékoré, les éleveurs accusent souvent les agriculteurs de détruire leurs troupeaux avec leurs tracteurs. Les affrontements violents entre les deux groupes sont devenus plus fréquents dans la région.
Le ministère de l'Élevage a interdit depuis le début de l'année la transhumance transfrontalière en Guinée, mais les bouviers continuent à revenir dans la région. Les habitants de Lola affirment que personne ne peut se rendre justice et qu'il y a trop de colère.
La situation est tendue, selon Benjamin Doré, président de la délégation spéciale de Lola. Le ministre de l'Élevage, Félix Lama, est en train de prendre des dispositions pour mettre fin au conflit, mais les habitants de la commune restent sceptiques.
Les chercheurs de l'International Crisis Group (ICG) travaillent sur ces questions de pastoralisme et de transhumance. Ils affirment que la tension entre les éleveurs et les agriculteurs est un symptôme d'un problème plus profond : le manque d'espace pastoraux dans la région.
Les habitants de Lola ont exprimé leur colère face à l'arrivée de bouviers en leur territoire. La situation est tendue, et il faudra du temps pour que les autorités guinéennes trouvent une solution pour mettre fin au conflit.
				
			Les habitants de Lola, une commune située dans la région guinéenne forestière, se sont réunis torses nus jeudi dernier pour protester contre l'arrivée de bouviers en leur territoire. Cette nouvelle vague de violence est le symptôme d'une tension croissante entre les éleveurs et les agriculteurs dans la région.
Selon Mamadi Bamba, chargé des conflits à la fédération régionale Bétail-Viande de N'zérékoré, les éleveurs accusent souvent les agriculteurs de détruire leurs troupeaux avec leurs tracteurs. Les affrontements violents entre les deux groupes sont devenus plus fréquents dans la région.
Le ministère de l'Élevage a interdit depuis le début de l'année la transhumance transfrontalière en Guinée, mais les bouviers continuent à revenir dans la région. Les habitants de Lola affirment que personne ne peut se rendre justice et qu'il y a trop de colère.
La situation est tendue, selon Benjamin Doré, président de la délégation spéciale de Lola. Le ministre de l'Élevage, Félix Lama, est en train de prendre des dispositions pour mettre fin au conflit, mais les habitants de la commune restent sceptiques.
Les chercheurs de l'International Crisis Group (ICG) travaillent sur ces questions de pastoralisme et de transhumance. Ils affirment que la tension entre les éleveurs et les agriculteurs est un symptôme d'un problème plus profond : le manque d'espace pastoraux dans la région.
Les habitants de Lola ont exprimé leur colère face à l'arrivée de bouviers en leur territoire. La situation est tendue, et il faudra du temps pour que les autorités guinéennes trouvent une solution pour mettre fin au conflit.
 
				
 Et puis, la transhumance transfrontalière, c'est juste une petite formalité pour eux... les autorités, en tout cas. Moi, j'aurais du ailleurs, parce que je sais que ça peut se terminer par des affrontements violents et qu'on risque de perdre un peu plus d'uomo... mais c'est justement ça, le problème : on ne prend jamais la peine de trouver une solution qui convienne à tous les deux. Et puis, il y a trop de colère dans cette histoire... comme si on avait oublié que la Guinée est un pays où l'on devrait savoir se gérer !
 Et puis, la transhumance transfrontalière, c'est juste une petite formalité pour eux... les autorités, en tout cas. Moi, j'aurais du ailleurs, parce que je sais que ça peut se terminer par des affrontements violents et qu'on risque de perdre un peu plus d'uomo... mais c'est justement ça, le problème : on ne prend jamais la peine de trouver une solution qui convienne à tous les deux. Et puis, il y a trop de colère dans cette histoire... comme si on avait oublié que la Guinée est un pays où l'on devrait savoir se gérer ! 
 ... les éleveurs contre les agriculteurs, c'est déjà un problème, mais puis qu'il y a des bouviers qui reviennent dans leur territoire, ce n'est plus une bagarre, c'est une guerre
... les éleveurs contre les agriculteurs, c'est déjà un problème, mais puis qu'il y a des bouviers qui reviennent dans leur territoire, ce n'est plus une bagarre, c'est une guerre  . Et personne ne sait vraiment pourquoi ça se passe comme ça, ni les éleveurs ni les agriculteurs... il y a du jeu derrière tout cela, je suis sûr de ça
. Et personne ne sait vraiment pourquoi ça se passe comme ça, ni les éleveurs ni les agriculteurs... il y a du jeu derrière tout cela, je suis sûr de ça  . Et puis il y a cette transhumance transfrontalière qui est interdite depuis déjà une année, mais personne ne vérifie si les bouviers sont vraiment suivant les règles
. Et puis il y a cette transhumance transfrontalière qui est interdite depuis déjà une année, mais personne ne vérifie si les bouviers sont vraiment suivant les règles  . Moi, j'en pense que c'est juste un casse-tête pour détourner l'attention des gens du problème réel, le manque d'espace pastoraux dans la région... il y a trop de personnes qui profitent de ce système et personne ne veut changer ça
. Moi, j'en pense que c'est juste un casse-tête pour détourner l'attention des gens du problème réel, le manque d'espace pastoraux dans la région... il y a trop de personnes qui profitent de ce système et personne ne veut changer ça  . Les éleveurs et les agriculteurs, ils ont tous leurs droits à être là, mais il faut trouver un moyen de vivre ensemble sans se faire du mal. Je pense qu'il faudrait que le gouvernement soit plus rapide pour trouver des solutions, avant que les tensions ne montent trop. Et pour les habitants de Lola, j'espère qu'ils vont trouver des réponses à leurs problèmes et que la paix revienne dans leur communauté
. Les éleveurs et les agriculteurs, ils ont tous leurs droits à être là, mais il faut trouver un moyen de vivre ensemble sans se faire du mal. Je pense qu'il faudrait que le gouvernement soit plus rapide pour trouver des solutions, avant que les tensions ne montent trop. Et pour les habitants de Lola, j'espère qu'ils vont trouver des réponses à leurs problèmes et que la paix revienne dans leur communauté  . Il faut aussi penser aux conséquences sur l'environnement, si on continue comme ça...
. Il faut aussi penser aux conséquences sur l'environnement, si on continue comme ça... Et puis, je me demande vraiment pourquoi les autorités ne pensent pas à mettre fin à cette transhumance transfrontalière dès le début de l'année ? C'est justement ça qui crée ces conflits et on nous dit que c'est un problème de manque d'espace pastoraux... mais pas exactement dans la région !
 Et puis, je me demande vraiment pourquoi les autorités ne pensent pas à mettre fin à cette transhumance transfrontalière dès le début de l'année ? C'est justement ça qui crée ces conflits et on nous dit que c'est un problème de manque d'espace pastoraux... mais pas exactement dans la région !  Quoi qu'il en soit, il faut que les autorités trouvent une solution pour mettre fin à ce conflit avant que ça ne devienne vraiment tendu. C'est vrai, j'ai peur pour les habitants de Lola et pour la région...
 Quoi qu'il en soit, il faut que les autorités trouvent une solution pour mettre fin à ce conflit avant que ça ne devienne vraiment tendu. C'est vrai, j'ai peur pour les habitants de Lola et pour la région... 

 . Et si je fusse au ministère de l'Elevage, je dirais aux éleveurs : "Arrêtez de vous faire prendre en flagrant délit d'ignorance !"
. Et si je fusse au ministère de l'Elevage, je dirais aux éleveurs : "Arrêtez de vous faire prendre en flagrant délit d'ignorance !"  . Les bouviers reviennent toujours, malgré l'interdiction de transhumance... ça fait trop longtemps que personne ne résout le problème
. Les bouviers reviennent toujours, malgré l'interdiction de transhumance... ça fait trop longtemps que personne ne résout le problème  . La tension est vraiment tendue dans la région forestière
. La tension est vraiment tendue dans la région forestière  . Je pense que c'est un symptôme d'un problème plus profond : les habitants ont besoin de plus d'espace pour vivre et faire leurs activités quotidiennes
. Je pense que c'est un symptôme d'un problème plus profond : les habitants ont besoin de plus d'espace pour vivre et faire leurs activités quotidiennes  . Et ça ne peut pas se résoudre avec des solutions rapides, il faudra du temps et de l'écoute
. Et ça ne peut pas se résoudre avec des solutions rapides, il faudra du temps et de l'écoute  .
. . Et enfin c'est ça qui me fait réfléchir, il faut trouver une solution pour l'espace pastoraux et non juste traiter les conflits avec la peine de mort ou le chantage
. Et enfin c'est ça qui me fait réfléchir, il faut trouver une solution pour l'espace pastoraux et non juste traiter les conflits avec la peine de mort ou le chantage 