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La Guinée-Bissau est plongée dans la confusion électoralienne après le coup d'État orchestré par les militaires qui ont pris le pouvoir il y a moins de sept jours. La Commission électorale nationale, chargée d'organiser les élections, s'est finalement abstenue de publier les résultats du scrutin, malgré les appels à la publication des résultats de la présidentielle et des législatives.
Selon Npabi Cabi, président de la Commission électorale nationale, il n'existe plus de procès-verbaux pour justifier la publication des résultats. Les documents ont été confisqués par l'armée et ne sont plus accessibles à l'instance électorale. La commission a expliqué cela lors d'une conférence de presse tenue mardi, qui a duré seulement quelques minutes.
Les oppositions, dont le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée (PAIGC), ont critiqué cette décision, affirmant que les procès-verbaux existent encore et peuvent être utilisés pour annoncer les résultats. Fernando Dias, candidat de l'opposition qui revendique la victoire à la présidentielle, a déclaré qu'il était possible d'annoncer les résultats électoraux en comparaison des données disponibles.
Les organisations de la société civile, comme la Ligue guinéenne des droits de l'Homme, sont inquiètes pour les personnes détenu, dont un opposant historique et des membres du PAIGC. Le procureur général est également toujours en détention. Les deux journées de lundi et mardi, la Commission électorale nationale n'a pas pu publier ses résultats.
Selon Npabi Cabi, président de la Commission électorale nationale, il n'existe plus de procès-verbaux pour justifier la publication des résultats. Les documents ont été confisqués par l'armée et ne sont plus accessibles à l'instance électorale. La commission a expliqué cela lors d'une conférence de presse tenue mardi, qui a duré seulement quelques minutes.
Les oppositions, dont le Parti africain pour l'indépendance de la Guinée (PAIGC), ont critiqué cette décision, affirmant que les procès-verbaux existent encore et peuvent être utilisés pour annoncer les résultats. Fernando Dias, candidat de l'opposition qui revendique la victoire à la présidentielle, a déclaré qu'il était possible d'annoncer les résultats électoraux en comparaison des données disponibles.
Les organisations de la société civile, comme la Ligue guinéenne des droits de l'Homme, sont inquiètes pour les personnes détenu, dont un opposant historique et des membres du PAIGC. Le procureur général est également toujours en détention. Les deux journées de lundi et mardi, la Commission électorale nationale n'a pas pu publier ses résultats.