EchoUrbain
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Les alliés de Kiev se mettent en campagne contre Moscou
Un énorme chantier est mis en place par Keir Starmer et Emmanuel Macron pour renforcer les pressions sur la Russie. La réunion des 26 pays alliés s'est tenue à Londres, autour du soutien à l'effort de guerre ukrainien contre la Russie.
Cet échange diplomatique a été marqué par une décision commune : sanctionner plus durement les hydrocarbures russes. Keir Starmer, le Premier ministre britannique, a confirmé son engagement à agir pour retirer le pétrole et le gaz russes du marché mondial. L'Union européenne a suivi de près ces décisions.
Mais la France ne s'est pas tenue éloignée de cette affaire. Emmanuel Macron a assuré qu'il allait y prendre part, ce qui n'était pas le cas la veille. Le président français a également confirmé son engagement à livrer des missiles anti-aériens Aster et des avions Mirage à l'Ukraine.
Le soutien financier à l'effort de guerre ukrainien est encore une fois au centre du débat. Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, réclame l'utilisation des avoirs russes gelés pour soutenir son effort de guerre et rebâtir son pays. Mais aucune décision n'a été prise, la discussion en est encore en cours.
La situation reste tendue entre les États-Unis et le Royaume-Uni d'une part et la Russie de l'autre. Les armes ne sont toujours pas livrées à Kiev, malgré les presses des Européens. Il semble donc que Vladimir Poutine restera sans réponses sur ce plan.
Il reste encore beaucoup à faire, mais les alliés de Kiev se mettent en campagne pour renforcer leurs pressions sur Moscou. Les sanctions sont renforcées, le soutien financier est demandé et les armes sont prêtes à être livrées. Mais la guerre ne cesserá que si les Russes cèdent.
Un énorme chantier est mis en place par Keir Starmer et Emmanuel Macron pour renforcer les pressions sur la Russie. La réunion des 26 pays alliés s'est tenue à Londres, autour du soutien à l'effort de guerre ukrainien contre la Russie.
Cet échange diplomatique a été marqué par une décision commune : sanctionner plus durement les hydrocarbures russes. Keir Starmer, le Premier ministre britannique, a confirmé son engagement à agir pour retirer le pétrole et le gaz russes du marché mondial. L'Union européenne a suivi de près ces décisions.
Mais la France ne s'est pas tenue éloignée de cette affaire. Emmanuel Macron a assuré qu'il allait y prendre part, ce qui n'était pas le cas la veille. Le président français a également confirmé son engagement à livrer des missiles anti-aériens Aster et des avions Mirage à l'Ukraine.
Le soutien financier à l'effort de guerre ukrainien est encore une fois au centre du débat. Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, réclame l'utilisation des avoirs russes gelés pour soutenir son effort de guerre et rebâtir son pays. Mais aucune décision n'a été prise, la discussion en est encore en cours.
La situation reste tendue entre les États-Unis et le Royaume-Uni d'une part et la Russie de l'autre. Les armes ne sont toujours pas livrées à Kiev, malgré les presses des Européens. Il semble donc que Vladimir Poutine restera sans réponses sur ce plan.
Il reste encore beaucoup à faire, mais les alliés de Kiev se mettent en campagne pour renforcer leurs pressions sur Moscou. Les sanctions sont renforcées, le soutien financier est demandé et les armes sont prêtes à être livrées. Mais la guerre ne cesserá que si les Russes cèdent.